La pompe aspirante a continué de fonctionner comme on le voit tous les jours du côté de Stalingrad et c'est un second lycée parisien, Jean-Jaurès, qui donne sur l'avenue Simon Bolivar, qui est désormais envahi, toujours dans le bienheureux 19ème arrondissement.
À l'intérieur de cet établissement, quelque 150 intrus : Erythréens, Soudanais, Somaliens, Afghans, Yéménites, mais aussi Marocains, Tunisiens, bref rien qui n'ait un rapport avec un danger direct pour leur sécurité, critère du droit d'asile.
«Il y a même un bébé de 4 mois», raconte un militant du collectif La Chapelle debout, qui a programmé l'opération d'occupation selon Le Figaro.
Le mouvement fait donc tâche d'huile. Hidalgo, dans ce domaine comme dans les autres, a tenté de tenir un double langage, accueillant et permissif d'un côté, discrètement répressif de l'autre. Mais cela ne fonctionne pas et les gauchistes qui se servent des migrants, à moins que ce ne soit l'inverse, ont décidé de la mettre devant ses contradictions.
Pendant ce temps là, les Parisiens devront payer et les flux vont s'accélérer, sachant que seule une expulsion immédiate et systématique de ces faux réfugiés pourrait endiguer leur arrivée.