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Cinéma : Casablancas L’homme qui aimait les femmes, les infos

Publié le 26 avril 2016 par Framboise32

Casablancas

Casablancas, L’homme qui aimait les femmes, en Vo Casablancas The Man Who Loved Women,  est un documentaire réalisé par le réalisateur francais Hubert Woroniecki. La musique originale du film a été composée par Tahiti boy.

Synopsis : En créant l’agence Elite dans les années 70, John Casablancas invente le concept de « super Top model ». Si des noms comme Naomi, Cindy, Linda, Iman, Gisèle ou Kate font aujourd’hui partie de la culture populaire, c’est en grande partie grâce à lui. Il a vécu la vie dont beaucoup rêvent, entouré de glamour et de beauté. Il raconte ici son histoire.

Le documentaire sera en salles le 29 juin 2016. Il sera distribué par UFO Distribution

A propos de John Casablancas : Né à Manhattan en décembre 1942 de parents issus de la bourgeoisie industrielle espagnole, John Casablancas passe son enfance entre les Etats-Unis et l’Europe. Après une scolarité en Suisse, il démarre sa carrière au Brésil en charge du marketing pour Coca Cola. A la fin des années 1960, alors qu’il réside à Paris, il fait une rencontre qui va changer sa vie à jamais. Dans le hall d’un hôtel, il croise le regard de la jeune Jeanette Christjansen, sublime mannequin danois pour qui il quitte sa femme. C’est décidé, sa vie sera désormais dédiée aux femmes et plus particulièrement aux plus belles d’entre elles. En 1972, l’agence Elite voit le jour à Paris. Alors que le milieu du mannequinat s’essouffle et souffre d’une vieille garde aux méthodes révolues, « JC » bouscule tous les codes et fait rentrer les « models » dans le monde de « l’Entertainment ». Tout au long de sa vie, Casablancas s’est opposé au système et a réé- crit les règles du jeu. Il est à l’origine des carrières des mannequins les plus célèbres : Cindy Crawford, Iman, Stéphanie Seymour, Naomi Campbell, Linda Evangelista, Gisèle Bündchen…la liste est longue et les prénoms familiers.

 Surnommé «Dr Frankenstein», John Casablancas a su façonner leur beauté et leur carrière pour en faire les plus belles filles du monde, des «super-models». Au début des années 90, son chiffre d’affaire global atteint 120 millions de dollars annuel (le triple de son concurrent principal), et l’agence possède des bureaux dans 35 pays. En parallèle, John ouvre des écoles de mannequinat «John Casablancas», dont une centaine aux Etats-Unis sont toujours en exercice, ainsi que le concours, mondialement connu, «The Look of the Year» qui accueille chaque année 300.000 candidates venant de 60 pays. Mais sa vie personnelle et professionnelle a souvent provoqué la polémique. Son goût prononcé pour les jeunes femmes, ainsi qu’une morale parfois douteuse de cette industrie, ont alimenté une presse avide de scandales. Lorsqu’en 1999 un documentaire de la BBC dresse un portrait au vitriol de son associé parisien, président de l’agence pour l’Europe, c’est toute l’industrie qui est ébranlée. En 2000, John vend ses parts de la société et prend sa retraite. En 2004, Elite NY dépose le bilan. En juillet 2013, John Casablancas s’éteint à Rio De Janeiro. 


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