Cette vidéo virale démontre à quel point The Brookhaven Experiment peut être une expérience immersive ayant le potentiel d’inquiéter tous vos voisins.
Si l’idée de plonger dans de nouveaux mondes grâce à la réalité virtuelle vous a toujours attirée, il peut en être autrement en ce qui concerne les jeux de type survival horror. Ce n’est pas comme si vous pouviez vous réfugier derrière un coussin où simplement regarder ailleurs – l’écran est fixé sous vos yeux, les écouteurs alimentent vos oreilles du bruit qui vous entoure, et la crise cardiaque est à portée de main.
C’est ce que l’on constate en regardant cette vidéo du développeur norvégien Karl Jørgen Overå qui s’est amusé à filmer sa conjointe Renate vivre sa première partie de The Brookhaven Experiment, une expérience d’horreur développée exclusivement pour le HTC Vive.
«Ça sonnait comme si quelqu’un était en train de se faire tuer ici. Si les voisins ne viennent pas cogner à la porte, je serai très surpris.»
Le but de ce court jeu? Survivre à la horde de monstres humanoïdes qui se dirige vers vous sur 360 degrés, armé d’un pistolet et d’une lampe de poche, dans le noir le plus complet d’un sinistre terrain vague. Livré à vous-même, il vous est impossible de vous déplacer pour vous mettre à l’abri, vous ne pouvez que pivoter sur place.
Avant même de commencer la partie, les mains de Renate tremblent déjà à imaginer le sort qui lui sera réservé. Un tremblement qui perdure tout au long de sa partie, adéquatement détecté par les capteurs du HTC Vive, et qui se reflète par un tremblement de son pistolet. Terrifiée, elle manifeste également son angoisse en poussant des cris sans trop en être consciente. Une fois le premier niveau complété après seulement deux minutes, la joueuse peine à croire qu’elle a survécu.
«Je pense qu’on va avoir des plaintes des voisins», lance Karl à Renate. «Ça sonnait comme si quelqu’un était en train de se faire tuer ici. Si les voisins ne viennent pas cogner à la porte, je serai très surpris.»
Sans surprise, la joueuse refuse d’affronter le deuxième niveau. Elle ne semble toutefois pas traumatisée par l’expérience, affichant un sourire en retirant le casque. À moins que ce ne soit la satisfaction d’une personne qui vient de décider que c’était la dernière fois qu’elle accepterait à se livrer à une telle expérience?