On a des citoyens aux deux bouts de l’échelle des revenus: les très très riches qui trouvent le moyen de ne payer que très peu d’impôt… et les très très pauvres qui n’en paient pas du tout.
Aux deux bouts de ces échelles de revenus, on n’en a rien à cirer de la façon dont les États confisquent le revenu des travailleurs de la classe moyenne sur qui repose l’entièreté de la dépense publique, allant des services de santé aux cadeaux corporatistes, aux multiples subventions et crédits d’impôts et aux idéologies vertes, etc.--- Joanne Marcotte