On suit Yuck depuis ses débuts, même si on a laissé de côté la gestion délicate du line-up. Stranger Things commence assez mal avec une grosse guitare bourdonnante, oscillant entre « Un jour en France » de Noir Désir et la démo d’un ado dans sa cave qui vient de trouver un son de distorsion. Rien de très rassurant. Pourtant, au fil des morceaux, l’album prend une réelle identité plutôt réjouissante, notamment sur les ballades Like A Moth, As I Walk Away, Down ou Stranger Things qui sonne d’ailleurs comme un bel hommage à Teenage Fanclub.
On suit Yuck depuis ses débuts, même si on a laissé de côté la gestion délicate du line-up. Stranger Things commence assez mal avec une grosse guitare bourdonnante, oscillant entre « Un jour en France » de Noir Désir et la démo d’un ado dans sa cave qui vient de trouver un son de distorsion. Rien de très rassurant. Pourtant, au fil des morceaux, l’album prend une réelle identité plutôt réjouissante, notamment sur les ballades Like A Moth, As I Walk Away, Down ou Stranger Things qui sonne d’ailleurs comme un bel hommage à Teenage Fanclub.
Si certains morceaux affichent fièrement leur immédiateté (Only Silence, Cannonball), d’autres souffrent d’un son un peu lourdeau (Hold Me Closer, Hearts in Motion) que l’on compensera par le profond Swirling par exemple.
Le tout sur un album qui, du haut de ses 46 minutes, nous a paru interminable à chaque écoute intégrale. Dommage, car tout n’est clairement pas à jeter.
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