Le kiosque de ce mois sera rallongé de quelques nouvelles venues d’autres sources
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1 :MAGAZINES : j ai reçu les magazines suivants :
1- 1/LA RECHERCHE /A VRIL 2016
Avec la 1ère page titre de ma photo
Notre blogosphére y apprendra l exercice du doute et celui de la résistance à la manipulation !!( 4 articles de psychologie sociale )J ai eu le plaisir d y voir traiter des news diffusés par moi-même il y a 2 mois dans PHYSICS WORLD /LE MONDE SELON LA PHYSIQUE
1-2/POUR LA SCIENCE /AVRIL 2016
AVEC CETTE 1ère page titre
J’attire l attention des lecteurs sur les articles suivants : « 6 milliards d africains ? « ( projection démographique alarmante) et sur « Université PARIS SACLAY .Pas sur que les poles augmentent la visibilité internationale »
1-3/ LES DEFIS DU CEA /MARS 2016 et AVRIL 2016 ,
AVEC DES SUIVIS POSSIBLES SUR LES LIENS DE CES TITRES
- 7 avril 2016A l'écoute de l'Univers violent n°206
Sur le vif / Diabeloop - Le point sur / Le programme Astrid - Tout s'explique / Les ondes gravitationnelles
- 7 mars 2016Fusion nucléaire : pièces uniques pour tokamak nippon
Sur le vif / Un processuer au QI supérieur à la normale - Le point sur / La fabrication additive - Tout s'explique / La salle immersive
2 :NEWS
2-1 : L USINE NOUIVELLE 4avril : Et si les djihadistes fabriquaient une bombe sale…/Émergents et solutions, Alstom réaffirme ses priorités stratégiques pour 2020/[DIAPORAMA] Tchernobyl, 30 ans après l'accident nucléaire/L'industrie c'est fou :Total fore le plus profond puits offshore/Les investissements dans les énergies renouvelables à un niveau record en 2015
11 AVRIL /Ségolène Royal choisit Dunkerque pour le troisième appel d'offres éolien offshore/A 70 ans, EDF entame sa troisième révolution industrielle/Impossible de reporter les EPR d'Hinkley Point affirme Jean-Bernard Lévy d'EDF/L'avenir du nucléaire français ? Ségolène Royal a du mal à se décider/Le courant passe entre Emmanuel Macron et EDF/Le démantèlement des centrales nucléaires européennes coûtera 250 milliards d'euros d'ici à 2050/La France est-elle prête en cas d'accident nucléaire majeur ?/ L'invention du MIT qui pourrait réduire de moitié les émissions de CO2 du charbon/L'industrie c'est fou : un drone pour mesurer la radioactivité dans les centrales nucléaires
2-2 Je me suis abonné à l’IFP Energies nouvelles,
3 : NEWS PARTICULIERES : Un article remarquable deP.L /LES ECHOS 8 avril LE CHANTIER DE FLAMANVILLE arrive à 80 % (copier coller)Les premiers essais sont prévus en 2017. L'ASN rendra ses conclusions sur les anomalies de la cuve après.
Programmé en 2007 pour une mise en service en 2012, le chantier de l'EPR (European Pressurized Reactor) est dans sa dernière ligne droite avec une fin prévue en 2018. Près de 4.000 personnes s'affairent encore quotidiennement à la construction de la future centrale nucléaire française de Flamanville, à quelques kilomètres de Cherbourg (Manche). Estimé lors de son lancement à 3 milliards d'euros, son coût atteindrait désormais les 10,5 milliards d'euros.
Le génie civil a pris fin l'an dernier. A l'extérieur, la centrale à béton est en cours de démontage. Les ouvriers se souviennent encore des 16 opérations de bétonnage qui ont permis d'achever l'enceinte externe du dôme, le couvercle du bâtiment réacteur. Voilà quelques jours, les opérations de montages mécaniques du circuit primaire principal du réacteur ont été achevées. « Le chantier est à 80 % d'avancement et à 60 % pour le bâtiment réacteur. En 2017, ce sera le début des essais d'ensemble », explique, confiant, Antoine Ménager, le directeur EDF du chantier de l'EPR.
Inquiétude sur la cuve
Depuis l'avis de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) l'an dernier sur les anomalies de fabrication de la cuve du futur réacteur nucléaire, l'inquiétude quant au déroulement du chantier et à la bonne tenue de son calendrier est de mise. Interrogé récemment, Pierre-Franck Chevet, le patron de l'ASN, a déclaré : « Nous avons donné notre aval fin 2015 sur un programme d'essais d'Areva qui doit essayer de démontrer que la cuve, même avec ces anomalies, est acceptable en termes de sûreté. » Et d'ajouter : « Les indications que nous avons, mais qui restent à confirmer, c'est qu'Areva va devoir augmenter les essais, avec un programme qui va probablement prendre plusieurs mois de plus. Ils rendraient leur dossier fin 2016 ou début 2017. On se prononcera quatre ou cinq mois après. » En cause, la composition de son acier. Les mesures, lors d'essais chimiques et mécaniques menés par Areva, chargé de sa construction, avaient indiqué la présence d'une concentration trop importante en carbone dans le couvercle et le fond de la cuve - un point qui pourrait en altérer les capacités de résistance. Or, la cuve est l'une des pièces essentielles pour la sûreté des installations. C'est elle qui contient le combustible et participe à la seconde barrière de confinement de la radioactivité.
Sur le chantier, aucun signe officiel ne vient perturber son déroulé. Installée au coeur du bâtiment nucléaire, la cuve est, comme les autres pièces de l'assemblage, raccordée à l'ensemble du processus. « La cuve n'est pas un sujet de chantier », souligne de façon laconique Antoine Ménager. Son couvercle, livré en février, est l'objet d'aménagements. « L'ASN n'a pas formulé d'objections à la poursuite des opérations de fabrication sur son couvercle. Il y a plusieurs mois de travaux jusqu'à la fin 2016 pour l'équiper », poursuit le directeur du chantier.
La situation inquiète les associations écologistes. « Sans attendre les résultats, de nombreux instruments vont être fixés sur la cuve. Areva et EDF tentent-elles de forcer la main des autorités avec cette politique du fait accompli ? » interroge l'Association pour le contrôle de la radioactivité dans l'Ouest.
Pour lever les doutes, Areva mène, depuis un an déjà, de nouveaux tests. Attendus cet été, ils seront ensuite transmis à l'ASN. « Nous rendrons notre avis fin 2016 ou début 2017. Il n'est pas exclu que cela intervienne plus tard. Quant aux travaux en cours, il en va de la responsabilité d'EDF et d'Areva », prévient Guillaume Bouyt, chef de division ASN à Caen (Calvados).
Toutes les hypothèses sont à l'étude, comme le remplacement partiel ou total de la cuve ou la poursuite du chantier avec la cuve actuelle. Le risque est lourd pour le chantier, qui accumule déjà les dépassements. « Aucun scénario n'est exclu à ce stade. Il n'y a pas non plus de scénario plus vraisemblable qu'un autre », ajoute le représentant de l'ASN.
EDF se veut rassurant. « Nous avons confiance que le programme d'essais montrera qu'il n'y a pas, malgré ces anomalies, de risque sur la cuve », indiquait Jean-Bernard Lévy, président d'EDF, lors de son audition en juillet dernier à l'Assemblée nationale. Tirant les leçons de Fukushima, EDF a décidé de construire le futur centre de crise locale non pas à l'intérieur mais à proximité de la centrale. Là encore, les travaux de gros oeuvre sont achevés. «