Le dernier voyage de Lars et Rachel serait même, à mon avis, intenable, s'il n'y avait pas ces moments de pause, quand l'un ou l'autre partage avec un membre de sa famille, Laura, ou son fils Pete, les souvenirs de leur enfance, de leur jeunesse, de leur grand-parents... Tout à coup, une bouffée d'air frais, une rasade d'humour. Bien sûr, tendresse et amour sont omniprésents entre Lars et Rachel, quelque pointes d'humour, sourires en coin, autres blagues saupoudrent le tout et on sent les années de complicité entre eux mais il est dur de suivre ce vieux couple sans avoir la larme à l’œil. Tut simplement parce qu'ile st difficile de s'imaginer à la place de Lars ou de Rachel ou même de Laura... d'ailleurs Laura, qui se bat contre tout, qui doit tout surveiller, tente de faciliter la vie de ses parents au mieux qu'elle peut. Mais malheureusement, on ne peut penser à tout. L'histoire, avec ces semaines qui passent, ces mois, s'étale sur quatre ans. Mais quatre ans qui font peser sur nos épaules l'inéluctable. On sait comment tout cela va finir. Et on souhaiterait que cela se passe le moins mal possible pour ces deux petits vieux, à quelques pas du dernier départ. Joyce Farmer s'est fendue d'une magnifique histoire. Je dis fendu, car cela a dû être douloureux pour elle, enfin, quand je vois la douleur que peut procurer cette lecture, j'imagine celle de l'auteure. Si en plus, ces "faits sont inspirés d'événements réels", comme on peut lire parfois sur nos écrans, le choc en est d'autant plus violent.
Sorties de Secours de Joyce Farmer, chronique d'une histoire sans issues ?
Publié le 11 avril 2016 par 7bd @7BDLe dernier voyage de Lars et Rachel serait même, à mon avis, intenable, s'il n'y avait pas ces moments de pause, quand l'un ou l'autre partage avec un membre de sa famille, Laura, ou son fils Pete, les souvenirs de leur enfance, de leur jeunesse, de leur grand-parents... Tout à coup, une bouffée d'air frais, une rasade d'humour. Bien sûr, tendresse et amour sont omniprésents entre Lars et Rachel, quelque pointes d'humour, sourires en coin, autres blagues saupoudrent le tout et on sent les années de complicité entre eux mais il est dur de suivre ce vieux couple sans avoir la larme à l’œil. Tut simplement parce qu'ile st difficile de s'imaginer à la place de Lars ou de Rachel ou même de Laura... d'ailleurs Laura, qui se bat contre tout, qui doit tout surveiller, tente de faciliter la vie de ses parents au mieux qu'elle peut. Mais malheureusement, on ne peut penser à tout. L'histoire, avec ces semaines qui passent, ces mois, s'étale sur quatre ans. Mais quatre ans qui font peser sur nos épaules l'inéluctable. On sait comment tout cela va finir. Et on souhaiterait que cela se passe le moins mal possible pour ces deux petits vieux, à quelques pas du dernier départ. Joyce Farmer s'est fendue d'une magnifique histoire. Je dis fendu, car cela a dû être douloureux pour elle, enfin, quand je vois la douleur que peut procurer cette lecture, j'imagine celle de l'auteure. Si en plus, ces "faits sont inspirés d'événements réels", comme on peut lire parfois sur nos écrans, le choc en est d'autant plus violent.