L’histoire commence par un très grand pont, celui qui nous ouvre justement la porte de la Normandie.
A chaque fois que l’on y passe on s’y arrête comme médusé par sa taille et sa hauteur suspendu au-dessus de l’eau.
Partis après l’école de notre grand Nord, nous y sommes arrivés juste avant que le soleil ne se couche dans une brume laiteuse. Un paysage un peu surréaliste.
Cala tombe bien car il ne faut pas pousser bien loin pour arriver dans une ville très inspirée par les surréalistes : Honfleur. Ville d’Erik Satie dont on imagine bien les gymnopédies inonder le paysage.
Honfleur à la tombée de la nuit est un port vraiment accueillant et c’est aussi l’occasion de diner tranquillement, pour nous, avant de reprendre la route.
Après, un arrêt en Bretagne qui fera l’objet d’un billet rien que pour lui.
Retour vers la NormandieUn petit passage sur les planches pour montrer à louloute le lieu de ses premières vacances dont elle ne se souvient pas, elle avait 3 mois… Cela ne nous rajeunit pas tout ça.
Tellement de route, qu’il faut bien un peu se dégourdir les jambes. Chose que nous faisons en « escaladant » la falaise d’Etretat.
Je vous rassure on n’est pas vraiment téméraire… on ne s’est pas trop approché du bord, surtout qu’il y avait beaucoup de vent.
Puis il nous a fallu renter et reprendre le boulot… comme un lundi
Une jolie parenthèse juste pour un weekend.