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Grâce à un trailer de toute beauté, on salivait déjà à l'idée de ce qu'allait offrir ce jeu à sa sortie. Désormais disponible via Steam ou directement sur le site des développeurs à 17.99$ (au lieu de 19.99$ pour le moment), le soft devra se montrer à la hauteurs de nos espérances.
Avec des graphismes incroyables et un ambiance travaillée, le jeu nous transporte dans un univers cyberg-punk où se côtoient nature et technologie. Mélange de pixel art et de techniques modernes comme les dégradés de textures, le jeu est une véritable claque visuelle tant sur l'aspect technique et maîtrisé que sur le rendu unique. Immersion poétique donc qui, si elle ne parlera pas à tous, aura au moins le mérite d'être vraiment une création originale.
Côté gameplay, le titre semble plus conventionnel. Un action-rpg, dans la lignée de la licence "Legend Of Zelda" ou des "Seiken Densetsu". Mais ce qui propulse le titre dans les hautes sphères du genre, c'est bien sûr la présence de Disasterpeace au générique. Pour ceux qui ne connaissent pas Rich Vreeland, qui se cache derrière le pseudonyme de Disasterpeace, c'est le compositeur à qui l'on doit, entre nombreux autres, la musique de "Fez", un autre hit indépendant.
Au final, "Hyper Light Drifter" s'annonce comme un énorme jeu, tant par sa direction artistique que par son contenu ou sa musique. Sûrement un futur monument de 2016. Mais il est loin de s'annoncer comme le seul événement indie game à venir, puisque "Chasm" et "Witchmarsh" devraient également sortir dans le courant de l'année.