Parce que c’était nous de Mhairi McFarlane : l’histoire
Présentation de l’éditeur : il ne peut pas retomber amoureux d’elle. Il n’a jamais cessé de l’aimer. Dix ans plus tard, elle ne l’a pas oublié. Rachel et Ben, ces deux copains de fac ont fait les quatre cents coups et sont restés inséparables jusqu’à la fin de leurs études. Alors que Rachel, casée depuis des années, était promise à un avenir tout tracé, Ben, lui, voulait partir à l’aventure. Lorsque les deux amis se retrouvent, leur complicité d’autrefois est restée intacte. À mesure que les souvenirs refont surface, Rachel comprend qu’elle ne s’est jamais remise du jour où, sur un malentendu, Ben a claqué la porte de sa vie. que vont-ils faire de leurs rêves d’autrefois ?
Parce que c’était nous de Mhairi McFarlane : mon avis
On se souvient que j’avais adoré Comme si c’était toi et C’est pas moi c’est toi de Mhairi McFarlane. J’avoue que les titres et les couvertures sont très proches et que du coup je ne sais plus lequel est lequel.
Ce troisième roman de Mhairi McFarlane, confirme l’idée que j’avais après avoir lu les deux premiers : en terme de chick-lit, c’est plus ou moins ce que j’ai trouvé de mieux ces dernières années, tous pays confondus. L’histoire est très classique : les copains de fac qui passent une nuit ensemble et se retrouvent quinze après, pas de quoi fouetter un chat de gouttière, mais c’est bien écrit, drôle et intelligent dans les rebondissements et retournements de situations. Elle sait éviter beaucoup de clichés de la romance, créer des personnages attachants et nous émeut avec un happy-end plein de paillettes. J’ai hésité entre 4 et 5 étoiles, je reste sur 4, alors que j’avais mis 5 aux autres, à cause de ce pitch qui m’a semblé tout de même un peu trop téléphoné, mais je maintiens que si vous aimez les classiques de la chick-lit, vous ne pouvez pas ne pas succomber à l’humour et la légèreté de Mhairi McFarlane, dans cette histoire comme dans les précédentes.
Elle fait désormais partie des auteurs dont je surveille la sortie du prochain roman avec impatience. En plus, il existe en poche, alors pour huit euros et des cacahouètes, ce serait bête de se priver de ce petit plaisir pas vraiment coupable.
4/6 – On aime