Facebook, propriétaire de WhatsApp, a pris cette décision alors qu'un débat fait rage sur la question de l'accès des forces de l'ordre et de la justice aux communications numériques et fait suite à une épreuve de force entre Apple et le FBI autour d'un iPhone crypté, lié à l'un des auteurs de la tuerie de San Bernardino en décembre. " L'idée est simple : lorsque vous envoyez un message, la seule personne qui peut le lire est celle à qui vous l'avez envoyé, ou le groupe de discussion qui en est le destinataire. Personne d'autre ne peut lire le message en question. Personne, que ce soit des cyber-délinquants, des hackers, des régimes totalitaires, même pas nous ", explique WhatsApp sur son blog annonçant la mise à jour.
Précision:
Ce chiffrement n'est pas une option proposée aux utilisateurs, mais bien un réglage par défaut.