Pensée pour Ingrid

Par Antoinehl

J’avais commencé par écrire un mot pour dire que le temps, le manque de commentaires sur blogalore et le froid me rendaient d’humeur maussade et que je n’écrirai pas aujourd’hui.

Et puis j’ai lu la lettre d’Ingrid Bétancourt à ses enfants.
J’ai la gorge nouée.

Alors aujourd’hui pas de mot sur Bangalore.
Je m’arrête pour la journée.
Et comme l’a dit Sarkozy, “Je forme un rêve : celui de voir Ingrid au milieu des siens pour Noël.”

Moi aussi.

A.