Hier soir donc, l’intégralité de l’eau en suspension dans les épais nuages noirs qui couvraient Bangalore s’est déversée sur les chaussées que les indiens s’échinent à rendre plus accueillantes aux véhicules de tous poils.
Ce matin, sur mon chemin, il y avait des morceaux de route détachés par la furie de l’eau ruisselante.
Grand jeu, essayer d’arriver sec au bureau. Comme vous le voyez sur les photos que j’ai prises en venant, certains bangaloris rajoutent une difficulté, ils sont habillés en blanc et doivent, bien entendu, arriver immaculés sur leur lieu de travail.
A remarquer aussi sur la deuxième photo, au fond à gauche, la carcasse d’une moto que son propriétaire a sans doute cru amphibie. Apparemment, elle ne l’était pas.
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