Dans son documentaire, A Magical Substance Flows Into Me (Une substance magique coule en moi), Jumana Manna jeune réalisatrice de 25 ans, née aux États-Unis et d’origine palestinienne, marche dans les pas de l’ethnomusicologue juif allemand Robert Lachmann (1892-1939), arrivé en 1935 en Palestine où il a exploré dans un programme radiophonique les multiples traditions musicales arabes et juives de la région.
Quatre-vingts ans plus tard, Jumana Manna exhume les enregistrements musicaux diffusés par Lachmann pour les faire jouer par des musiciens des différentes communautés de la région. Son objectif: «Rendre visible l’interdépendance complexe des identités, rendues à tort étrangères les unes aux autres», explique la jeune femme installée à Berlin.
Dans son documentaire, A Magical Substance Flows Into Me (Une substance magique coule en moi), Jumana Manna jeune réalisatrice de 25 ans, née aux États-Unis et d’origine palestinienne, marche dans les pas de l’ethnomusicologue juif allemand Robert Lachmann (1892-1939), arrivé en 1935 en Palestine où il a exploré dans un programme radiophonique les multiples traditions musicales arabes et juives de la région.
Quatre-vingts ans plus tard, Jumana Manna exhume les enregistrements musicaux diffusés par Lachmann pour les faire jouer par des musiciens des différentes communautés de la région. Son objectif: «Rendre visible l’interdépendance complexe des identités, rendues à tort étrangères les unes aux autres», explique la jeune femme installée à Berlin.