Le débat avait été initié suite aux plaintes en justice contre Mike Ward concernant son humour touchant le petit Jérémy Gabriel qui avait 13 ans à l’époque.
J’ai bien apprécié la position de Martin Petit dans ce débat très sensible. Une position qui tient en 3 points bien précis:
- On ne peut pas rire d’un enfant.
- Il ne faut pas qu’une jurisprudence nous empêche de rire d’Adil Charkaoui.
- Il ne faut pas qu’une jurisprudence permette à Adil Charkaoui de s’en servir.