La bombe Rihanna twerke pour Drake !
Heureusement il y a Rihanna, la perle de la Caraïbe anglophone, la barbadienne aux yeux verts : A même pas 30 ans, elle est l’une des 4 ou 5 plus grandes stars mondiales, concurrençant Beyonce, Shakira ou Alicia Keys… Alors que les intégristes de tous bords entendent cacher leurs femmes, sous le prétexte qu’elles seraient des créatures diaboliques qui risqueraient de faire naître chez l’homme des sentiments impurs – eh ! oui comme chantait Georges Brassens, la bandaison, Papa, ça ne se contrôle pas !- Rihanna lance sa bombe, une vraie, une explosive même si elle n’est faite ni de TNT ou de TATP, une bombe sexuelle:Dans son dernier clip « Work », elle se livre à un twerk endiablé, forcément endiablé, qu’elle nous danse, enfin qu’elle danse à Drake, son partenaire, chanceux le mec ! Le twerk ? Vous savez, c’est, comment dire… une danse qui suppose beaucoup de souplesse, des formes généreuses, et un sacré coup de rein ! Devant vous, tout contre vous, en vous tournant le dos, votre partenaire sur la piste de danse, remue son bonda, son boul, son popotin, sur une rythme effréné tout en descendant jusqu’à presque toucher le sol ; Waou ! La Jamaïque et les Antilles anglophones, comme Barbade dont est originaire Rihanna, s’en sont fait une spécialité, dans leurs dancehall, comme également dans les boîtes d ‘Abidjan ou de Douala. On est loin, très loinde Boko Haram, ou de l’Etat islamique, ou de cette obsession des grandes religions monothéistes - et pas seulement de l’Islam- qui étouffent les femmes sous des tenues plus proches de la tente Quechua que d’une robe, d’une jupe, ou d’une djellaba. Curieux que l’on retrouve cette même obsession de la femme suscitant des pensées impures chez les juifs, les chrétiens et les musulmans. Comme dit l’humoriste Sofia Aram, chez les 3, c’est toujours Dieu qui parle aux hommes, et les hommes qui parlent aux femmes. Alors Rihanna avec son twerk démentiel est une véritable gifle à tous ces tartuffes, ces imposteurs, si bien nommés par Molière qui nous ordonnent : Couvrez ce sein que je ne saurais voir. Le clip « Work » fait bander l’audimat et les téléchargements aux quatre coins de la planète. Et donc sans nul doute en cachette sous les burkhas par bon nombre de gros machos barbus qui tout en enfermant leurs femmes sous des tenues « islamiques », doivent fantasmer sur les courbes avantageuses de la belle barbadienne.Et tant mieux si cela choque les puritains de tout bord, depuis les ligues de vertus américaines jusqu’aux mollahs iraniens. Par les temps qui courent, c’est un vrai appel à la liberté des femmes, et cela fait du bien ! Allez, on se remet un petit coup de « work, work, work ».Nous vivons une e-poque formidable.Le clip : https://www.youtube.com/watch?v=HL1UzIK-flA