Les liens du sang de Nora Roberts

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete

Chronique réalisée par Rose

:star: Les liens du sang de Nora Roberts

Nombre de pages : 288 pages
Éditeur : Harlequin
Date de sortie : 1er février 2016
Collection : Sagas
Langue : Français
ISBN-10 : 2280353547
ISBN-13 : 9782280348713
Prix Éditeur : 6,95 €
Disponible sur Liseuse : oui

Son résumé :

Rafe, Jared, Devin et Shane MacKade. Quatre frères profondément attachés à leur famille et à leur Maryland natal, cette région aussi belle en hiver qu’en été, aussi magique recouverte d’un épais manteau de neige que verdoyante sous le soliel. Farouchement indépendants, ces quatre hommes au caractère bien trempé sont décidés à ne jamais renoncer à leur liberté pour une femme. Mais une rencontre va tout changer…

Quand elle pénètre dans la vieille et splendide demeure qu’elle est chargée de restaurer à Antietam, Regan ne peut retenir un frisson d’appréhension. Ne dit-on pas que la maison est hantée, et qu’une femme s’y est autrefois laissée mourir pour l’amour d’un inconnu ? Mais c’est loin d’être la seule raison de son malaise… Car Rafe MacKade, le propriétaire des lieux – un homme aussi secret que séduisant – provoque en elle un trouble qui la déstabilise complètement…

Mon avis :

Un Nora Roberts, c’est quitte ou double : soit un petit bonbon qu’on déguste, soit ça ne passe pas. Pourtant, cette histoire, malgré des personnages attachants, ne m’a pas laissé de souvenirs impérissables. Mais comme c’est une auteur que j’aime bien, je vais commencer par les points négatifs, et finir sur une touche positive !

Premier point, et qui n’est pas du fait de l’auteur, mais du traducteur, c’est la question du tutoiement et du vouvoiement. De temps en temps deux personnages se tutoient, puis s’ils se disputent, et ensuite peuvent repasser au vouvoiement, ce qui est assez déstabilisant car on n’a pas du tout l’habitude de repasser à la personne de politesse quand on se fâche avec quelqu’un. À partir du moment où le « tu » est de mise, il faut en rester là.

Ensuite le côté maison hantée m’a laissée de marbre. L’idée que la bâtisse de Rafe ait une histoire est bien trouvée, mais l’aspect fantôme avec portes qui claquent et grincements à la série B est assez lassant.

Ceci étant dit, concentrons-nous sur ce qui importe : l’histoire et les personnages. Regan est une jeune femme douce mais déterminée, tandis que Rafe évoque le parfait bad boy, celui auquel personne ne croyait mais qui a réussi à gravir les marches de la société à la force de ses bras (il n’en reste pas moins super sexy et viril, sinon ça ne serait pas drôle). D’ailleurs on attend quand même les autres tomes de la série, qui concernent les frères tout aussi sexy et virils de Rafe ! Regan est un peu en retrait par rapport à lui ; en voulant être toujours si parfaite, elle finit par être très lisse, et on ne l’apprécie réellement que dans les moments où elle se lâche. Rafe la fait sortir des sentiers battus pour casser cette image de poupée, mais ce n’est vraiment pas mon héroïne préférée. J’ai trouvé que Cassie, une amie de Regan et de Rafe, avait plus de profondeur qu’elle. Mère de deux enfants, régulièrement frappée par son mari, elle se bat pour survivre. Elle sera d’ailleurs l’héroïne du deuxième tome.

J’ai vraiment apprécié en revanche les scènes où les quatre frères se retrouvent (notamment une des dernières scènes, dans le bar) ; ils passent leur temps à se taquiner, chacun sachant où frapper chez l’autre pour créer des réactions disproportionnées, surtout avec Rafe qui reste quand même un grognon de première.

En bref, une romance avec des qualités et des défauts, mais qui devrait sans problème trouver son public.

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Chronique réalisée par Rose

:star: Les liens du sang de Nora Roberts

Nombre de pages : 288 pages
Éditeur : Harlequin
Date de sortie : 1er février 2016
Collection : Sagas
Langue : Français
ISBN-10 : 2280353547
ISBN-13 : 9782280348713
Prix Éditeur : 6,95 €
Disponible sur Liseuse : oui

Son résumé :

Rafe, Jared, Devin et Shane MacKade. Quatre frères profondément attachés à leur famille et à leur Maryland natal, cette région aussi belle en hiver qu’en été, aussi magique recouverte d’un épais manteau de neige que verdoyante sous le soliel. Farouchement indépendants, ces quatre hommes au caractère bien trempé sont décidés à ne jamais renoncer à leur liberté pour une femme. Mais une rencontre va tout changer…

Quand elle pénètre dans la vieille et splendide demeure qu’elle est chargée de restaurer à Antietam, Regan ne peut retenir un frisson d’appréhension. Ne dit-on pas que la maison est hantée, et qu’une femme s’y est autrefois laissée mourir pour l’amour d’un inconnu ? Mais c’est loin d’être la seule raison de son malaise… Car Rafe MacKade, le propriétaire des lieux – un homme aussi secret que séduisant – provoque en elle un trouble qui la déstabilise complètement…

Mon avis :

Un Nora Roberts, c’est quitte ou double : soit un petit bonbon qu’on déguste, soit ça ne passe pas. Pourtant, cette histoire, malgré des personnages attachants, ne m’a pas laissé de souvenirs impérissables. Mais comme c’est une auteur que j’aime bien, je vais commencer par les points négatifs, et finir sur une touche positive !

Premier point, et qui n’est pas du fait de l’auteur, mais du traducteur, c’est la question du tutoiement et du vouvoiement. De temps en temps deux personnages se tutoient, puis s’ils se disputent, et ensuite peuvent repasser au vouvoiement, ce qui est assez déstabilisant car on n’a pas du tout l’habitude de repasser à la personne de politesse quand on se fâche avec quelqu’un. À partir du moment où le « tu » est de mise, il faut en rester là.

Ensuite le côté maison hantée m’a laissée de marbre. L’idée que la bâtisse de Rafe ait une histoire est bien trouvée, mais l’aspect fantôme avec portes qui claquent et grincements à la série B est assez lassant.

Ceci étant dit, concentrons-nous sur ce qui importe : l’histoire et les personnages. Regan est une jeune femme douce mais déterminée, tandis que Rafe évoque le parfait bad boy, celui auquel personne ne croyait mais qui a réussi à gravir les marches de la société à la force de ses bras (il n’en reste pas moins super sexy et viril, sinon ça ne serait pas drôle). D’ailleurs on attend quand même les autres tomes de la série, qui concernent les frères tout aussi sexy et virils de Rafe ! Regan est un peu en retrait par rapport à lui ; en voulant être toujours si parfaite, elle finit par être très lisse, et on ne l’apprécie réellement que dans les moments où elle se lâche. Rafe la fait sortir des sentiers battus pour casser cette image de poupée, mais ce n’est vraiment pas mon héroïne préférée. J’ai trouvé que Cassie, une amie de Regan et de Rafe, avait plus de profondeur qu’elle. Mère de deux enfants, régulièrement frappée par son mari, elle se bat pour survivre. Elle sera d’ailleurs l’héroïne du deuxième tome.

J’ai vraiment apprécié en revanche les scènes où les quatre frères se retrouvent (notamment une des dernières scènes, dans le bar) ; ils passent leur temps à se taquiner, chacun sachant où frapper chez l’autre pour créer des réactions disproportionnées, surtout avec Rafe qui reste quand même un grognon de première.

En bref, une romance avec des qualités et des défauts, mais qui devrait sans problème trouver son public.