In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie . C'est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre boîte aux lettres ainsi que les livres achetés.
Cette semaine j'ai reçu
Peut-on tomber amoureuse d'une simple voix, d'un esprit, sans y perdre son âme ?
1919. Au lendemain de la Première Guerre Mondiale, Apollonie devient professeur de musique. Belle, libre et déterminée, la jeune orpheline découvre la vie au château de Grandville. Elle ne tarde pas à faire la connaissance du fils de la Comtesse, le magnétique et mystérieux Hector, dont la beauté n'a d'égale que le cynisme. Apollonie, encore troublée par cette rencontre, tombe sous le charme indécent d'une voix mystérieuse sortie des ombres ...
Un pantin ventriloque, rien de tel pour avoir du succès ! Caro s'amuse beaucoup avec le sien. Jalouse, sa soeur jumelle en achète un et le nomme " Monsieur Wood ". A partir de ce jour, des événements diaboliques vont se produire dans la maison des Lafaye. Monsieur Wood est-il aussi inanimé qu'il y paraît ?
Un jour, ou plutôt une nuit, la lune, qui était alors une enfant, en eut assez d'aller toute nue. Elle alla voir sa mère, la grande et vaporeuse Nébuleuse Voie Lactée, et lui dit :
" Grande et vaporeuse Nébuleuse Voie Lactée, mère bien-aimée, je suis grande désormais.
Il est temps de me vêtir. Je voudrais une robe qui brille de mille couleurs dans la nuit. "
* quelques achats et cadeaux reçus
Lui, on l'appelait Baas, c'est-à-dire Patron, non seulement chez lui, non seulement dans sa manufacture de cigares, mais à l'hôtel de ville, au café et jusque dans la rue ". Un banal petit scandale - un employé communal qui se suicide parce qu'il a fait un enfant à la fille d'un notable et qu'on n'a pas voulu lui avancer l'argent nécessaire pour arranger l'histoire - et le cours ordinaire de la vie méthodiquement organisée de Joris Terlinck va basculer. Le bourgmestre de Furnes, comme un étranger dans sa propre maison, va prendre conscience de son impuissance et de sa fragilité d'homme.
Mc Cash, s'il n'est plus flic, reste borgne et dévoré par une colère aussi vieille que son premier concert des Clash, à Belfast, avant les grèves de la faim de Bobby Sand et les victimes du Bloody Sunday... Plus de femme, pas d'avenir, des illusions perdues... Un ophtalmologue l'informe que s'il persiste à soigner par la destruction tout ce qui l'entoure, il sera vite et définitivement aveugle. Belle raison pour en finir d'une lumineuse balle dans la tête ! L'étincelle pourtant viendra d'ailleurs. Une lettre lui révèle qu'il est le père d'Alice. La mère est morte et c'est à lui désormais qu'il revient de veiller sur la petite... A peine Mc Cash est-il arrivé dans le village de sa fille qu'il trouve une autre fillette noyée. Alice vient le voir. Elle est le témoin qui dérange. Lorsque tombent les morts, Mc Cash redécouvre la peur et l'espoir mêlés. Lui qui voulait mourir mesure de plein fouet la valeur d'une vie. Celle de son enfant...
Il est des jardins vers lesquels, inexorablement, nos pas nous ramènent et dont les allées s'entrecroisent comme autant de possibles destins. À chaque carrefour se dressent des ombres terrifiantes : est-ce l'amour de ce côté ? Est-ce la folie qui nous guette ? Alexandre Astrid, flic sombre terré dans ses souvenirs, voit sa vie basculer lorsqu'il reçoit un manuscrit anonyme dévoilant des secrets qu'il croyait être le seul à connaître. Qui le force à décrocher les ombres pendues aux branches de son passé ? Qui s'est permis de lui tendre ce piège ? Autant de questions qui le poussent en de terrifiants jardins où les roses et les ronces, inextricablement, s'entremêlent et dont le gardien a la beauté du diable...