La mère d’Anne est morte. Suicide ou assassinat? Et qui est son vrai père? Devenue orpheline, Anne est prise en charge par sa tante Marie, enseignante dans un pensionnat venant à peine de ré-ouvrir ses portes après l’occupation de 47. Anne découvre une famille unie et heureuse d’où elle s’enfuira brièvement, encore sous le choc de sa douleur.
La famille Dona accueillera non seulement leur nièce Anne, mais aussi la mystérieuse Ilèana. Anne sera-t-elle rongée par la jalousie face à la popularité de sa nouvelle demi-sœur Auréline? Et qui est cette mystérieuse Ilèana à la voix d’or? Était-elle une princesse dans un passé encore si récent?
Le roman de Moldoveanu se lit comme un roman policier où devra se démêler la vérité parmi la cruauté des hommes. C’est un roman passionné, truffé de symboles et d’images poétiques, voire musicales, autant de reflets d’une Transylvanie d’après guerre au sein de paysages à la fois lumineux et lugubres.
« On entend dans ces histoires la plus belle voix de la sagesse. Son but est de transformer l’humanité pour mieux. C’est quoi le secret qui fait qu’on se sent attiré par l’écriture de Domnita Georgescu-Moldoveanu? Est-ce le message? La diversité des histoires? Le dynamisme? Les personnages vifs? Ou son aspiration permanente vers la perfection? Car la conscience représente l’axe central de chaque nouvelle. Et cela correspond à son idéal si souvent affirmé dans ses œuvres : rendre l’Homme meilleur! » – Liliana Hoton
À PROPOS DE L’AUTEURE :
En 1972, elle devient membre de l’Union des écrivains de la Roumanie. La même année, elle s’établit en France. Depuis, elle écrit uniquement en français (deux romans, des nouvelles, des réflexions, des notes, un journal, un roman en forme de journal, des scénarios de dessin animé).
- Plus d’information : http://agorapublishing.com
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