Le livre de Gaëlle Nohant a un parfum venu du temps où il se déroule, jusque dans l’écriture adaptée aux aspects les plus saisissants d’un roman historique. Qui sent le brûlé, c’est somme toute assez normal.
Le livre de Gaëlle Nohant a un parfum venu du temps où il se déroule, jusque dans l’écriture adaptée aux aspects les plus saisissants d’un roman historique. Qui sent le brûlé, c’est somme toute assez normal.