Vous vous croyez autorisé(e) à répandre votre racisme en toute impunité sur les réseaux sociaux, forts de votre anonymat tout relatif ? Vous avez tort. Et je le prouve encore, et encore, jusqu’à ce que cela ne soit plus nécessaire (et c’est pas demain la veille, vu le peu de jugeote de ce genre de bas du front) :
sourceAlors, faut répéter, ou bien ? En tous cas, moi, j’en suis fort aise. Ya une justice.