«la lutte contre les violences faites aux femmes est une exigence, pas une priorité. C’est une exigence!» (François Hollande)
L’individu en question est on ne peut plus suspect à mes yeux, et pas seulement pour ses opinions politiques, qui s’accommodent fort bien de l’air du temps. Un parti qui a pu soutenir sans rire quelqun comme Tapie dans un parti dit de gauche fera date dans l’histoire du confusionnisme. Je l’ai déjà brocardé à plusieurs reprises ici pour son goût des affaires, dont certaines lui ont valu des démêlés durables avec la justice, ce qui me semble difficilement compatible non seulement avec l’esprit de gauche tel que je le conçois, mais également avec tout exercice d’une fonction politique si le monde était bien fait, c’est à dire intègre et transparent. Mais voilà que j’apprends qu’en plus d’être peu regardant quand à la nécessaire probité de tout homme politique , le malfrat est également coupable de violences physiques envers son attachée parlementaire d’alors :
en 2002, Jean-Michel Baylet était accusé par son assistante parlementaire, Bernadette Bergon, de l’avoir frappée et forcée à démissionner. L’affaire a été classée sans suite. Mais d’après les informations obtenues par BuzzFeed News, le sénateur a passé à l’époque une transaction secrète avec la victime pour éviter toutes suites. (source)
Il fallait vraiment que plus personne ne veuille entrer dans un tel gouvernement en perdition pour aller chercher une ordure pareille… Après Cahuzac, le ministre qui fraude le fisc et Le Guen qui fait dans la dissimulation de patrimoine, voilà le ministre violent et caractériel qui frappe les femmes… Franchement, il n’y a pas que pour notre emploi, crois moi, que… #onvautmieuxqueça