Et voici déjà la 9 ème page de ce billet concernant l'hibernation et la vie suspendue. Je suis conscient que les articles peuvent avoir un caractère répétitif et lasser le lecteur. Je tiens toutefois à préciser que cela nous fait prendre conscience que le phénomène est bel et bien présent dans notre société et ceci, bien plus souvent que nous pouvons le penser. Tous les cas ne sont pas répertoriés, loin de là. Suivant le hasard de mon agenda,de temps à autre, je parcours internet à la recherche d'articles sur le sujet. Et il ne me faut généralement pas plus de cinq minutes pour en trouver 3 ou 4 ! Même si une recherche plus appronfondie me permettrait d'en trouver beaucoup plus, il ne faut toujours pas croire que cela s'arrêterait là. En effet, comment savoir le nombre réel de "mort" ayant pu se réveiller si, dans nos pays "civilisés", à peine éteint, le corps est vite rempli de solution à base de formol. Ou encore "démonté" en vue d'extraire des osant aux certitudes de notre science médicale pouvant se révèler entièrement fausses !
Le présent billet est rédigé à l’aide d’articles de presse parus ici et là démontrant que le phénomène de « mort apparente » ou « d’hibernation » des êtres humains n’est pas si exceptionnel que cela. Il est même très courant ! Ce qui remet fortement en cause nos connaissances sur le sujet de la frontière entre la vie et la mort. Et devrait faire prendre conscience au monde médical, que nous sommes parfois trop souvent pressés d’enterrer les gens ou les disséquer pour leur soustraire des organes.
Les véritables fakirs, tel l’était Ben-Ghou-Bey, sont en mesure de plonger volontairement leur corps dans ces états et berner ainsi tout constat de décès de notre science moderne.
Il s’agit donc d’un champ de recherche qu’il serait bon de prendre au sérieux.