Quand Julian Barnes se penche sur Kipling, George Orwell ou Lorrie Moore, parmi d’autres, il les éclaire jusque dans les plis les mieux fermés de leur démarche créatrice. A propos de Flaubert, il compare six traductions en anglais de Madame Bovary. Ce qui l’autorise à conseiller l’une ou l’autre en fonction de ce que cherche le lecteur, mais aussi à entrer dans la chair des phrases. Et encore davantage quand, par une fiction où des couches de récit s’ajoutent les unes aux autres, il rend hommage à Hemingway.
Quand Julian Barnes se penche sur Kipling, George Orwell ou Lorrie Moore, parmi d’autres, il les éclaire jusque dans les plis les mieux fermés de leur démarche créatrice. A propos de Flaubert, il compare six traductions en anglais de Madame Bovary. Ce qui l’autorise à conseiller l’une ou l’autre en fonction de ce que cherche le lecteur, mais aussi à entrer dans la chair des phrases. Et encore davantage quand, par une fiction où des couches de récit s’ajoutent les unes aux autres, il rend hommage à Hemingway.