Le plot ? Thomas Soler, jeune artiste en quête de reconnaissance croise Gaylor, le "peintre chéri du XXe siècle". Il se met en tête de le rencontrer coûte que coûte. Cette occasion lui est fournie par Saldon, un américain qui a fréquenté Gaylor dans sa jeunesse et compte lui extorquer quelques billets. Munis d'une invitation pour la soirée annuelle du peintre, les deux amis de fraîche date se séparent. Thomas patiente, incapable de s'adresser à sa vedette. Il décide donc de monter dans le bureau du peintre pour lui laisser quelques photos de ses œuvres... Et c'est là qu'il tombe sur un cadavre. Avec ses amis, notamment Jeremy, il va mener sa petite enquête, alors que le commissaire Galtier piétine. Et comme d'hab, c'est le genre d'initiative qu'il vaut mieux ne pas prendre quand on a manqué de peu un assassin.
Sympathique sans être fou, ce premier Vargas m'a plu pour son intrigue qui est finalement très liée à la carrière d'artiste de Gaylor, à la capacité d'observation d'un peintre comme Thomas ou à la force déductive de Jérémy.