Jeune mariée, la comtesse Greffuhle étouffe au sein de sa belle-famille. Voici un extrait de lettre qu'elle adresse à Mimi, sa chère Maman:
" Je ne sais si je suis triste ou gaie, mais il me semble que je suis bien changée. Je n'ai plus de goût pour rien, je ne travaille plus, je ne jouis plus comme autrefois de la moindre chose, tout m'est indifférent et je prends grand intérêt au nombre de bécasses et de perdreaux."
La comtesse Greffulhe, L'ombre des Guermantes, Laure Hillerin, biographie, Ed. Flammarion, oct. 2014, 572 pp