Magazine Culture
Down the way where the nights are gayAnd the sun shines daily on the mountaintopI took a trip on a sailing shipAnd when I reached Jamaica I made a stop
But I'm sad to say I'm on my wayWon't be back for many a dayMy heart is down, my head is turning aroundI had to leave a little girl in Kingston town
Sad to say I'm on my wayWon't be back for many a dayMy heart is down, my head is turning aroundI had to leave a little girl in Kingston town
Down at the market you can hearLadies cry out while on their heads they bear'Akey' rice, salt fish are niceAnd the rum is fine any time of year
But I'm sad to say I'm on my wayWon't be back for many a dayMy heart is down, my head is turning aroundI had to leave a little girl in Kingston town
Sounds of laughter everywhereAnd the dancing girls swaying to and froI must declare my heart is thereThough I've been from Maine to Mexico
But I'm sad to say I'm on my wayWon't be back for many a dayMy heart is down, my head is turning aroundI had to leave a little girl in Kingston town
Down the way where the nights are gayAnd the sun shines daily on the mountaintopI took a trip on a sailing shipAnd when I reached Jamaica I made a stop
But I'm sad to say I'm on my wayWon't be back for many a dayMy heart is down, my head is turning aroundI had to leave a little girl in Kingston town
Sad to say I'm on my wayWon't be back for many a dayMy heart is down, my head is turning aroundI had to leave a little girl in Kingston town
« Jamaica Farewell » figure sur l’album « Calypso » (1957) qui fut, pour Harry Belafonte, un succès colossal. Cette chanson a été écrite et composée, à partir de mélodies traditionnelles des Caraïbes, par Lord Burgess(après avoir été utilisée notamment dans la chanson « Iron Bar » glorifiant un cheval de course par Lionel Walters dont la justice débouta la tentative de s’attribuer les droits d’auteurs de la mélodie). La version française chantée par Nana Mouskouri abandonne la Jamaïquepour le Brésil et Tahiti, ce qui fait perdre à cette chanson ses véritables racines.Harry Belafonte, chanteur, acteur, et activiste résolu, a promu d’autres très grands succès comme « Try to Remember » et Day-O (The Banana Boat Song). Il consacre sa vie, depuis de nombreuses années, à défendre les droits de l’homme, particulièrement aux Etats-Unis et en Afrique du Sud. Il a reçu à ce titre, en 2013 le Prix de l'Ambassadeur de la Conscience par Amnesty International. Aujourd’hui âgé de 88 ans, il reste engagé dans la vie politique et soutient, dans les « primaires » présidentielles américaines, Bernie Sanders.Pourquoi donc les belles voix devraient donc se taire ?ALN
Adieu Jamaïque
Vers ces lieux où les nuits sont gaiesEt le soleil brille toujours sur les sommetsJ’ai voyagé sur un grand voilierEt en Jamaïque, je me suis arrêté
Mais c’est triste à dire, j’ai dû partirAvant longtemps, je n’peux rev’nirMon cœur est las ; c’est ma raison qui vacilleA Kingston j’ai dû laisser une jolie fille
C’est triste à dire, j’ai dû partirAvant longtemps, je n’peux rev’nirMon cœur est las ; c’est ma raison qui vacilleA Kingston j’ai dû laisser une jolie fille
Au marché, on entend crierLes femmes portant sur la tête des akéesAvec riz et poisson séchéComme le rhum, c’est si bon toute l’année
Mais c’est triste à dire, j’ai dû partirAvant longtemps, je n’peux rev’nirMon cœur est las ; c’est ma raison qui vacilleA Kingston j’ai dû laisser une jolie fille
Partout des rires aux éclatsEt des filles qui tanguent aux danses exotiquesJ’avoue que mon cœur est là-basBien qu’ayant été du Maine au Mexique
Mais c’est triste à dire, j’ai dû partirAvant longtemps, je n’peux rev’nirMon cœur est las ; c’est ma raison qui vacilleA Kingston j’ai dû laisser une jolie fille
Vers ces lieux où les nuits sont gaiesEt le soleil brille toujours sur les sommetsJ’ai voyagé sur un grand voilierEt en Jamaïque, je me suis arrêté
Mais c’est triste à dire, j’ai dû partirAvant longtemps, je n’peux rev’nirMon cœur est las ; c’est ma raison qui vacilleA Kingston j’ai dû laisser une jolie fille
C’est triste à dire, j’ai dû partirAvant longtemps, je n’peux rev’nirMon cœur est las ; c’est ma raison qui vacilleA Kingston j’ai dû laisser une jolie fille
(Traduction – Adaptation : Polyphrène)