L’adieu aux réseaux

Les réseaux sociaux sont, comme on le sait depuis le début, la meilleure et la pire des choses, comme tout outil de communication.

Peut-être qu’aux autres moyens de se relier aux autres, ceux-ci apportent une sorte d’addiction, de curiosité permanente, voire de compétition (combien de fois a-t-on cliqué sur mon « post », etc.)

Pour moi, ce fut une bonne manière de poursuivre le dialogue, comme je l’indiquais en exergue ; j’espère avoir utilement accompagné le lever de quelques personnes, qui avaient besoin d’une phrase optimiste. Levé très tôt depuis l’époque où je le devais pour assurer « Musique au Petit Déjeuner « , il m’a été facile de les devancer le plus souvent.

Aujourd’hui, je voudrais passer à encore autre chose et surtout me concentrer sur cette rédaction de mes « mémoires » qui m’emporte dans tant de souvenirs émouvants, forts, drôles, insolites, et qui remue toute ma vie, comme une psychanalyse. Merci de me comprendre : chaque chose doit être faite et bien faite en son temps.

Merci à toutes et à tous ! Que votre vie soit belle !

(Par ailleurs, à plusieurs occasions des interférences plus ou moins graves ont perturbé ces communications (identités, fake, etc. Et Olivier Bogaert de la Computer Crime Unit me dit être débordé !) et vous devez donc faire attention aux virus, attachés et liens – les supprimer au plus vite sans les ouvrir et faire le nécessaire pour les signaler)