:star: La cour d’Aliénor, tome 3 : L’Épée et la Rose de Anne Herries
Poche : 320 pages
Éditeur : Harlequin
Date de parution : 1er Février 2016
Collection : Les Historiques
Langue : Français
ISBN-10 : 2280347512
ISBN-13 : 978-2280347518
Disponible sur liseuse : OuiPrix éditeur : 6€95
Son résumé :
Secrets et complots à la cour d’Aliénor
Angleterre, 1195
Alain de Banewulf. Voilà le nom du héros qui a sauvé Katherine d’une troupe d’infâmes brigands sur la route de retour de la Terre sainte, et qui l’a protégée jusqu’en Angleterre. Elle était déjà éperdue de reconnaissance en arrivant saine et sauve au château de Banewulf, mais elle exulte de joie lorsqu’elle apprend qu’il souhaite l’épouser. Hélas, elle a peu de temps pour savourer son bonheur. Car son oncle, son unique parent, la kidnappe pour s’approprier sa fortune… Alain arrivera-t-il à temps pour la sauver une nouvelle fois ?
Mon avis :
Troisième opus de la série A la cour d’Aliénor, L’Epée et la Rose est un roman qui m’a vraiment captivé et qui a su m’entraîner avec lui le temps d’une soirée. Pouvant se lire indépendamment des autres tomes, ce troisième roman de la saga nous fait découvrir l’histoire d’Alain de Banewulf et de Dame Katherine de Grunewald alors que ceux-ci rentrent en Angleterre.
L’histoire, en elle-même, est assez classique : un preux chevalier qui rentre de Terre Sainte après de longues années de croisades et qui sauve de brigands une jeune fille en détresse. Ce qui est un petit moins classique, en revanche, c’est la suite de l’histoire. En effet, les personnages ne sont pas tout de suite dans cette perspective d’histoire d’amour et leur cheminement commun, semé d’embûches, nous permet de découvrir des protagonistes chaleureux et très attachants que l’on prend vraiment plaisir à suivre.
Anne Herries nous entraîne donc dans une histoire pleine de complots, d’aventures et de trahisons où l’amour n’apparaît pas comme une évidence dès le début pour Alain et Katherine. Et que dire de ces deux personnages sinon qu’ils sont vraiment adorables et très humains dans leurs sentiments et relations ? Alain m’a touché par sa chevalerie et sa capacité à se remettre en question, et Katherine par sa douceur et sa volonté, parfois un peu naïve, de protéger tout le monde. A eux seuls, ces deux personnages réussissent à donner un énorme plus au roman. Toutefois, celle que j’aurais le plus aimé n’est finalement que secondaire dans l’histoire. En effet, mon coup de coeur va à la mère d’Alain, Alayne de Banewulf qui est une femme tellement pleine de douceur et de compassion dans ce roman qu’on ne peut que l’aimer.
L’Epée et la Rose fût aussi pour moi l’occasion de retrouver la plume d’Anne Herries que j’affectionne tant. Avec sa douceur et ses nombreux rebondissements, lire ce roman est vraiment un plaisir pour se vider la tête et oublier les petits tracas du quotidien. Malheureusement, je regrette que le résumé soit un peu mensonger puisque ce qu’il nous promet n’arrive qu’au deux-tiers du roman… Le lecteur est donc dans l’expectative d’un événement qui arrive tardivement et amorce la fin de l’histoire. Un résumé assez trompeur finalement et qui pourrait décevoir de nombreux lecteurs attendant une chose qui n’est pas le centre de l’intrigue.
En conclusion, L’Epée et la Rose a vraiment été une très bonne lecture. Je me suis attachée aux personnages tant principaux que secondaires, et j’ai adoré me plonger dans une intrigue pleine de secrets et de complots où chacun n’est pas forcément celui qu’il prétend être. Une fois encore, retrouver le style d’Anne Herries a été un vrai plaisir !
:star: La cour d’Aliénor, tome 3 : L’Épée et la Rose de Anne Herries
Poche : 320 pages
Éditeur : Harlequin
Date de parution : 1er Février 2016
Collection : Les Historiques
Langue : Français
ISBN-10 : 2280347512
ISBN-13 : 978-2280347518
Disponible sur liseuse : OuiPrix éditeur : 6€95
Son résumé :
Secrets et complots à la cour d’Aliénor
Angleterre, 1195
Alain de Banewulf. Voilà le nom du héros qui a sauvé Katherine d’une troupe d’infâmes brigands sur la route de retour de la Terre sainte, et qui l’a protégée jusqu’en Angleterre. Elle était déjà éperdue de reconnaissance en arrivant saine et sauve au château de Banewulf, mais elle exulte de joie lorsqu’elle apprend qu’il souhaite l’épouser. Hélas, elle a peu de temps pour savourer son bonheur. Car son oncle, son unique parent, la kidnappe pour s’approprier sa fortune… Alain arrivera-t-il à temps pour la sauver une nouvelle fois ?
Mon avis :
Troisième opus de la série A la cour d’Aliénor, L’Epée et la Rose est un roman qui m’a vraiment captivé et qui a su m’entraîner avec lui le temps d’une soirée. Pouvant se lire indépendamment des autres tomes, ce troisième roman de la saga nous fait découvrir l’histoire d’Alain de Banewulf et de Dame Katherine de Grunewald alors que ceux-ci rentrent en Angleterre.
L’histoire, en elle-même, est assez classique : un preux chevalier qui rentre de Terre Sainte après de longues années de croisades et qui sauve de brigands une jeune fille en détresse. Ce qui est un petit moins classique, en revanche, c’est la suite de l’histoire. En effet, les personnages ne sont pas tout de suite dans cette perspective d’histoire d’amour et leur cheminement commun, semé d’embûches, nous permet de découvrir des protagonistes chaleureux et très attachants que l’on prend vraiment plaisir à suivre.
Anne Herries nous entraîne donc dans une histoire pleine de complots, d’aventures et de trahisons où l’amour n’apparaît pas comme une évidence dès le début pour Alain et Katherine. Et que dire de ces deux personnages sinon qu’ils sont vraiment adorables et très humains dans leurs sentiments et relations ? Alain m’a touché par sa chevalerie et sa capacité à se remettre en question, et Katherine par sa douceur et sa volonté, parfois un peu naïve, de protéger tout le monde. A eux seuls, ces deux personnages réussissent à donner un énorme plus au roman. Toutefois, celle que j’aurais le plus aimé n’est finalement que secondaire dans l’histoire. En effet, mon coup de coeur va à la mère d’Alain, Alayne de Banewulf qui est une femme tellement pleine de douceur et de compassion dans ce roman qu’on ne peut que l’aimer.
L’Epée et la Rose fût aussi pour moi l’occasion de retrouver la plume d’Anne Herries que j’affectionne tant. Avec sa douceur et ses nombreux rebondissements, lire ce roman est vraiment un plaisir pour se vider la tête et oublier les petits tracas du quotidien. Malheureusement, je regrette que le résumé soit un peu mensonger puisque ce qu’il nous promet n’arrive qu’au deux-tiers du roman… Le lecteur est donc dans l’expectative d’un événement qui arrive tardivement et amorce la fin de l’histoire. Un résumé assez trompeur finalement et qui pourrait décevoir de nombreux lecteurs attendant une chose qui n’est pas le centre de l’intrigue.
En conclusion, L’Epée et la Rose a vraiment été une très bonne lecture. Je me suis attachée aux personnages tant principaux que secondaires, et j’ai adoré me plonger dans une intrigue pleine de secrets et de complots où chacun n’est pas forcément celui qu’il prétend être. Une fois encore, retrouver le style d’Anne Herries a été un vrai plaisir !