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Mary - emily barnett

Par Leila Renoux @LeelooR
MARY - EMILY BARNETTCe qu’en dit l’éditeur :Mary est une adolescente des années 2000, qui vit recluse avec sa mère dans un château. C'est aussi une jeune Américaine expatriée à Paris au début des années 50, mariée à un designer. Quels liens secrets entretiennent ces deux femmes ? Comment le Maccarthysme des années 50 peut-il contraindre mentalement une jeune fille d'aujourd'hui ? De l'enfance sauvage aux atermoiements amoureux d'une femme dans le New York d'après-guerre, Mary sonde les thèmes de l'adultère, de la maternité et de la filiation. Dans ce récit aux contours mouvants, indéfinis, le lecteur circule ainsi entre réel et imaginaire, passé et présent, Histoire et fait-divers. Creusant sans cesse des vertiges insoupçonnés, Mary nous plonge dans un univers vénéneux, aux confins de ceux de Daphné du Maurier et de Laura KasischkeMon avis:Mary oh Mary, si je savais…Je ne me serais pas acharnée à terminer la lecture de ce roman qui me laisse un gout amer, serais-je passée à côté de quelque chose, n’aurais-je pas assez de jugeote pour comprendre où l’auteure voulait en venir ? Franchement je n’en sais rien, je n’ai rien compris à ce premier roman.Mary est le prénom que se partagent les deux héroïnes du récit, l’une adolescente vivant dans un château pendant les années 2000, et l’autre américaine des fifties amoureuse de Jim, en plein Red Scare. Ça on le comprend, mais par la suite, j’étais complètement perdue dans une dimension spatio-temporelle qui me dépasse radicalement ! On navigue entre le présent, le passé, les psychoses de l’une, les  délires de l’autre. Laquelle est folle, laquelle est laquelle déjà?Ça a le mérite d’être bien écrit, mais on se perd au fil de l’histoire, j’ai eu beau essayer de me raccrocher aux indices pour établir un lien entre les deux héroïnes, mais je suis restée sur ma faim.Quant à la quatrième de couverture je la trouve un peu déclamatoire, un univers à la Daphné du Maurier, je suis désolée,  nous sommes à un univers tout court…Elle se serait appelée Ariane, on aurait peut-être trouvé un fil, mais elle s’appelle Mary…Editions: RivagesDate de parution: 26 Août 2015187 Pages

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