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« Foutre dieu, ce livre m’a donné les foies ! »Si c’était Hugo alias Bohem qui avait à rédiger cette chronique, je suis sure qu’il l’aurait commencée ainsi !Etant donné que c’est moi qui la rédige, je dirais que sur des centaines de livres lus, « Nous rêvions juste de liberté » est le deuxième à m’avoir arraché des larmes. Et je ne suis pas la seule…Et s’il fallait le résumer : Bohem est entré dans la bande à Freddy à 17 ans, grâce à un vieux Tee-shirt, un saut dans le vide et une roulotte de bohémien… et qu’au fil des pages, cette ode à l’amitié vous prend aux tripes et ne vous lâche pas.Tel Alex, Henri Loevenbruck sait mettre tout plein de mots qui coupent dans le ventre, et alors, ça fait du bien de saigner un peu. Et pour le citer « Dans la vie, je crois qu’il vaut mieux connaitre ses vrais défauts que ses fausses qualités, vaut mieux surprendre que décevoir »
Allez savoir pourquoi tout le long de la lecture, je faisais un parallèle entre Bohem et Chris Chambers (l’écorché vif de Stand By Me de Stephen King) (ceux qui me connaissent ne seront pas étonnés c’est mon film culte)Pas besoin d’aimer la moto, mais si comme tout un chacun vous aimez la liberté, ce livre est pour vous. Une leçon de vie et un coup de cœur… au cœur, une claque que vous n’êtes pas prêt d’oublier !Telles les 3 lettres gravées sur Lipstick, la moto de Bohem, LH & R, pour Loyauté, Honneur et Respect.Je dis LH & R :pour le L : Lisez ce livre pour le H : c’est une Hérésie que d’être un lecteur et de passer à côté
et enfin pour le R : Respect Monsieur Loevenbruck !!!Edition: Flammarion424 pagesDate de parution: 01/04/2015