Dans le bus il y avait ce vieillard tout tremblant qui s'agrippait à la barre comme il devait s'accrocher à la vie depuis au moins quelques années. Une place se libère et, étonnamment, je suis content pour ce brave homme qui va pouvoir s'asseoir et se reposer. Voilà sans compter sur cette grosse vache, dont les cuisses feraient pâlir d'envie le cochon le plus gras, et qui n'a pas hésité à fourrer son gros cul sur le seul siège libre. D'ailleurs, je n'ai sans doutes pas été le seul à m'étonner de ce qu'un tel gabarit puisse se caser là-dedans.