Grâce à ce financement multisectoriel et pluriannuel, les trois pays ont pu développer des activités de traitement mais aussi de prévention de la malnutrition, à travers des partenariats avec les services étatiques et la société civile locale. En complément, un plaidoyer basé sur les évidences de terrain et sur la mise en place d’un réseau de champions de la nutrition dans 11 pays de la région, a permis d’influencer les autorités nationales et régionales, en faveur d’une intégration de la nutrition dans un système de santé renforcé et dans les autres secteurs contributeurs (eau, assainissement et hygiène, éducation, protection sociale).