A la fin, j’en ai fait une règle, pour la liberté du regard. Si on va à Moscou et qu’on lit Guerre et paix, on a le regard orienté par la vision que Tolstoï a de la Russie. Mon principe est que je vais à Moscou et que je lis un roman chinois parce que mon imagination, quand elle est dans le roman chinois, est libre de voir ce qu’elle veut de la ville de Moscou.
A la fin, j’en ai fait une règle, pour la liberté du regard. Si on va à Moscou et qu’on lit Guerre et paix, on a le regard orienté par la vision que Tolstoï a de la Russie. Mon principe est que je vais à Moscou et que je lis un roman chinois parce que mon imagination, quand elle est dans le roman chinois, est libre de voir ce qu’elle veut de la ville de Moscou.