Ce mardi 16 février 2016, tous les médias étaient tournés vers la salle parisienne de l'Olympia. Le groupe Eagles of Death Metal était de retour dans la Capitale française pour la première fois depuis les terribles incidents au Bataclan du 13 novembre 2015.
Cette semaine, Jesse Hughes était l'invité du Grand Journal de Canal+. Au micro de Maïtena Biraben, le leader des Eagles of Death Metal n'a pu s'empêcher de retenir ses larmes en évoquant les attentats. A la question de la sortie médiatique de Donald Trump, il a déclaré Je suis pour la liberté, je n'ai pas besoin d'un flingue.
Et pourtant, en décembre 2015, Télérama publiait un portrait peu flatteur de l'artiste américain.
Un militant pro-armes à feu mais aussi un chrétien ultra conservateur et anti-avortement, fervent soutien de Donald Trump, admirateur transi de Ronald Reagan et qui voit aussi en George Bush " un héros " et enfin adepte du créationnisme.
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