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Amnesty International considère que ces personnes en quête d’asile seraient exposées à un risque réel de violations graves des droits humains si elles étaient renvoyées à Nauru. Malgré les conclusions de la Haute Cour, qui s’appuient uniquement sur le droit australien, il est clair que leur renvoi bafouerait les obligations qui sont celles de l’Australie en vertu du droit international.
La décision de la Haute Cour, qui détermine que la politique australienne de détention extraterritoriale à Nauru n’est pas illégale, a par ailleurs des conséquences plus larges pour les 537 autres personnes, dont 68 mineurs, se trouvant déjà au centre régional de traitement de Nauru, et qui sont désormais vouées à y rester pour une durée indéterminée.