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Ce document dénonce les tentatives récentes des autorités iraniennes visant à étouffer des violations persistantes des droits des mineurs, et à détourner l’attention du fait que l’Iran soit l’un des dernier pays au monde à exécuter des personnes qui étaient mineures au moment des faits qui leur sont reprochés.
Le rapport, intitulé "Growing up on death row: The death penalty and juvenile offenders in Iran", révèle que l’Iran continue à envoyer des jeunes gens au gibet tout en présentant comme des avancées majeures des réformes fragmentaires qui n’abolissent pas le recours à la peine de mort contre cette catégorie d'accusés.
"Ce document met en évidence le mépris de l’Iran pour les droits des mineurs. L’Iran est l’un des seuls pays qui continuent à exécuter des mineurs délinquants, ce qui constitue une violation de l’interdiction absolue du recours à la peine capitale contre les personnes qui avaient moins de 18 ans au moment des faits qu’on leur reproche", a déclaré Said Boumedouha, directeur adjoint du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.