M.de Villiers estime M.Mitterrand, mais pas J.Chirac, dit Hervé Kabla qui a lu le livre du premier. Surprenant ?
La fin de vie de M.Mitterrand a eu quelque chose de plus surprenant encore. Comme Talleyrand et les nobles d'ancien régime dont parle Bossuet, il semble s'être mis en règle avec sa conscience et ses convictions, après une vie dissolue. Non seulement, il a reconnu sa fille illégitime, mais il y a eu l'affaire Bousquet.
Question : vie dissolue, ou vie qui ne fut qu'un moyen au service d'une fin ?
Car sa politique était-elle de gauche au sens où l'entendaient ses partisans ? Les "nationalisations", il y en a eu de massives après guerre, et le gouvernement n'était pas de gauche. Les guerres étrangères ? La grandeur de la France ?...
(Sa jeunesse, n'a vraiment pas été de gauche... Quant à Jacques Chirac, Anne Fulda dit qu'il est "radsoc". Mitterrand : "natsoc" ?)