Cette année, l’Open d’Australie de tennis a été témoin d’un gigantesque exploit dans le tableau féminin. En effet, l’Allemande Angélique Kerber a remporté le premier tournoi du Grand Chelem de sa carrière en s’imposant en finale contre la grandissime favorite et a priori imbattable, Serena Williams. Ainsi, une telle prouesse ne pouvait se célébrer que par un acte complètement fou. De ce fait, Kerber a décidé d’imiter Jim Courier lors de son sacre à Melbourne en 1992, qui s’était jeté tout habillé dans la Yarra River, le fleuve qui traverse Melbourne et qui passe juste derrière le Melbourne Park. Un acte bon enfant qui restera dans les mémoires mais qui résulte surtout d’un pari fou que la tenniswoman avait passé avec son entraîneur, Torben Beltz, et son physiothérapeute, Simon Iden. Néanmoins, la toute nouvelle numéro 2 mondiale n’est pas la première, ni surement la dernière, sportive à tenir une promesse complètement folle. De ce fait, E-TV Sport vous présente le Top 10 des promesses les plus folles tenues par des sportifs!
Angélique Kerber se jette à l’eau
Après sa victoire en finale contre Serena Williams (6-4, 3-6, 6-4), L’Allemande de 28 ans a tenu sa parole dimanche, en se jetant habillée dans le fleuve, comme l’avait fait l’Américain Jim Courier en 1992, après sa victoire en finale contre Stefan Edberg en quatre sets (6-3, 3-6, 6-4, 6-2).
Charles Barkley embrasse le postérieur d’un âne
En 2002, un certain Chinois du nom de Yao Ming débarque en NBA après avoir été drafté par les Houston Rockets en 1ère position. Un joueur qui ne convainc guère l’ancienne star des Rockets, reconverti en consultant télé, Charles Barkley. Ainsi, celui-ci déclare que si « Yao met 19 points ou plus lors d’un match en NBA, il embrasserait le Kenny’s ass », comprenez « les fesses de Kenny » ou encore « l’âne de Kenny » car le mot « ass » à un double-sens. Ici, « Chuck » fait référence à Kenny Smith, son partenaire d’antenne sur la chaîne TNT qui voyait en Yao Ming un joueur capable de marquer plus de 19 points en NBA.
Malheureusement, Barkley aura rapidement tort et Yao Ming inscrira 20 points le 17 novembre 2002. Quelques jours plus tard, Kenny Smith rappelle à son comparse sa promesse. Charles Barkley s’exécutera et embrassera rapidement les fesses d’un âne non sans un certain dégoût!
Il n’est jamais bon de se moquer de Joakim Noah
Restons sur les parquets de NBA avec l’arrivée de Joakim Noah aux Chicago Bulls en 2007. Choisir le « Stick Man », » la Brindille » n’est pas du goût de tout le monde et surement pas du journaliste du « Chicago Tribune », Rick Morrissey. En effet, le lendemain de sa draft, celui-ci titre « You must be Joakim », une référence à l’expression « You must be joking » qui signifie « tu veux rire? ». De plus, il écrit en page 4 que si Noah devient un joueur d’envergure chez les Bulls, il mangera son article avec de la sauce.
Pendant 1 an et demi, le joueur tricolore sera transparent et donnera raison au journaliste. Mais voilà sur le long terme, « Jooks » intègre le 5 majeur et Rick Morrissey déclare: « Derrick Rose est le meilleur joueur de l’équipe mais Joakim Noah en est le coeur et l’âme ». Devant son erreur de jugement, il n’aura plus qu’à faire ce qu’il avait dit devant un Joakim hilare!
La boule à zéro pour Djoko
En 2010, l’équipe de Serbie remporte la Coupe Davis pour la première fois de son histoire grâce à sa victoire sur l’équipe de France. Au début de cette campagne, l’équipe Serbe scelle un pacte secret: En cas de victoire finale, ils devront se raser la tête. Et sous l’impulsion de leur chef de file, le champion, Novak Djokovic, les Serbes passent les tours les uns après les autres et finissent par soulever le Saladier d’Argent.
Chose promise, chose due, toute l’équipe passe à la tondeuse et se met la boule à zéro avant la remise des trophées.
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