Pendant 7 millions d’années, l’Homme n’a jamais consommé une seule céréale et s’en portait à merveille.
La médecine évolutionniste émet l’hypothèse que les nutriments essentiels à la santé de l’être humain se trouvent dans les aliments qui ont été consommés par nos ancêtres du Paléolithique, entre 2,5 millions et 10 000 ans avant notre époque.
On sait que nos ancêtres consommaient beaucoup moins de glucides que nous.
Les sucres venaient des fruits, des légumes, des feuilles, des fleurs, des racines, des tubercules, du miel. Il n’y avait ni céréales, ni légumes secs, ni pommes de terre, ni les produits sucrés d’aujourd’hui qui ont, pour la plupart, un index glycémique (trop) élevé.
Quand on est malade et que l’on a une sensibilité au gluten, il ne s’agit pas de réduire les apports de gluten mais de l’éliminer complètement.
Si le régime est bien suivi, la maladie est mise en rémission et cessera de progresser et d’endommager non seulement le système digestif mais également les autres organes et tissus affectés par le gluten.
La partie toxique du gluten déséquilibre le bon fonctionnement de la paroi de la muqueuse intestinale, ce qui permet le passage dans le sang et les tissus, de molécules mal digérées qui causent des maladies chroniques, selon nos sensibilités.
Si une personne croit qu’elle n’est pas sensible au gluten et aux produits laitiers, arrêter la consommation de ces aliments ne la rendra pas sensible àleur réintroduction dans son alimentation. Par contre, si le gluten lui causait certains problèmes de santé, quand elle cessera de le consommer, elle ressentira des bienfaits sur sa santé. Mais si par la suite, elle réintroduit le gluten dans son alimentation, elle va constater alors des malaises, parce que son organisme se sera désintoxiqué.
De nombreux peuples tels les Japonais consomment peu ou pas de gluten et ils ne s’en portent pas plus mal.
Les personnes ne pensent pas qu’il peut avoir un lien entre leurs problèmes de santé et les aliments qu’ils consomment.
Dans la soixantaine, j’ai commencé brusquement à souffrir gravement d’arthrite rhumatoïde. Un ostéopathe m’a dit, en manipulant mes articulations, que le problème avait débuté depuis longtemps. Les maladies d’inflammation chronique sont habituellement précédées par de longues périodes d’inflammation silencieuse qui se situent sous le seuil de la douleur.
Je dois malheureusement dire qu’un très grand nombre de médecins, aux esprits bornés, se sentent menacés par le fait que des gens qui n’ont pas pu être soignés par la médecine officielle, se prennent en main avec un succès surprenant en utilisant des plantes, des oligoéléments, des correcteurs de PH (comme Alcaflor)et en modifiant leur alimentation.
C’est ce que j’ai fait: grâce à Rhumatoflor, Super Adoloris, Alcaflor et surtout (le plus difficile), le régime. J’ai repris une vie normale, sans douleur, mais je ne permets plus aucun écart; les fois où je l’ai fait, je l’ai payé chèrement avec le retour des douleurs et la perte de mobilité.
Je trouve contreproductif qu’en 2015 des médecins et des nutritionnistes refusent encore d’admettre que certains aliments, telles les céréales contenant du gluten, les produits laitiers et les viandes cuites à hautes températures, puissent agir comme facteurs permettant le déclenchement ou l’aggravation de maladies inflammatoires chroniques. Et qu’ils ignorent les traitements naturels alliés au régime puissant rendre une vie normale aux malades!
Qu’en pensez vous ?
Écrit par Janine Benoit
Après des années d'études en médecines naturelles, des consultations et des conférences données durant plus de 40 années dans différentes approches thérapeutiques (phytothérapie, homéopathie, oligothérapie, iridologie, chromatothérapie, kinésiologie, diététique), Janine Benoit a installé son laboratoire en 1991, à Oliva (Espagne), pour fabriquer ses propres formules de compléments alimentaires et de cosmétiques Bio.
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