dans la poussière
j’écris ton nom
mon beau désastre
mon précipice
ma route défoncée
dans une cavalcade
de désirs inassouvis
je gravis
les collines de grande misère
l’oeil avide
jamais ne rêve
à la blancheur des murs
où je voulais m’étendre
pour que le soleil envahisse
mon corps repu de souffrance