Finky Thinky

Madame, comment osez-vous défendre l'islam ?
Qu'est-ce qui vous prend de remettre le moyen-âge à la page ?
Avez-vous perdu la tête ?
Au point de chercher de l'esprit auprès de la bête ?
Celui qui me posa ces déshonorables questions qui s'apparentent à de véritables remises en question, est un enfant de 9 ans qui a comme son père, horreur des musulmans... il s'appelait comment déjà ?
Je n'ai jamais réussi à retenir son nom... Pour le nommer, j'usais d'un diminutif : Finky...
Peut-être parce qu'il avait une tête de Télétubbies : un peu Tinky, un peu Winky, un savant mélange de rose et de morose.
Je ne savais pas comment m'y prendre pour le reprendre, pour le surprendre.
Et j'ai fini par extraire de tout le corps de doctrine islamique, trois préceptes sensibles et compréhensibles même par un enfant.
Trois règles de conduite pour mettre un terme à toutes ses cochonneries... ou conneries... des maux issus de la même famille
- Primo : ne mange pas de porc
- Secundo : ne pense pas comme un porc
- Tertio : ne vis pas comme un porc
Ces injonctions sont à la fois esthétiques, éthiques et politiques.
Je m'explique :
- Primo : pourquoi nous interdire de manger du porc ?
C'est une question d'hygiène, cet animal n'avale que des insanités, comment peux-tu l'avaler ?
- Secundo : mais tu diras à quoi bon t'interdire de penser comme un porc puisque le porc ne pense pas. Justement c'est pour que tu te mettes enfin à penser, au lieu de te remplir la panse comme lui. Penser par toi-même au lieu de téter le sein de ton père... penses-y !
- Tertio : Ne vis pas comme un porc qui ne mange pas pour vivre, mais qui vit pour manger sans hygiène de vie...
Avec lui, on ne sait jamais s'il est sale parce qu'il salit ou s'il salit parce qu'il est sale. La saleté, voilà son seul titre de propriété au propre et au figuré.

Et le petit Finky n'a pu s'empêcher de me poser la énième question qui tue ou qui pue :
"Pourquoi Dieu l'a créé dans ce cas ?"
Pour que tu vois à quoi tu ressembles... Quand tu regardes en bas
À quoi tu ressembles... Quand tu cesses de regarder en haut !