Quatuor repéré l’année dernière avec un premier LP, les rennais reviennent en ce début d’année avec un album qui constitue la bonne surprise garage de ce mois de janvier un peu triste.
Ne serait-ce que pour la pochette déjantée, cet album vaut déjà le détour ! Ce condensé de rock garage et autres réjouissance fuzz sentent la bonne humeur sur un album qui respire la sincérité. Pas d’esbroufe, les mecs envoient la purée le plus simplement du monde avec des riffs ultra efficaces teintés çà-et-là de cuivres justement dosés. Le tout enregistré aux studios Kerwax, l’un des derniers studios 100% analogique.Pour suivre les news de rock indé, suivez Merseyside sur les réseaux sociaux :
Quatuor repéré l’année dernière avec un premier LP, les rennais reviennent en ce début d’année avec un album qui constitue la bonne surprise garage de ce mois de janvier un peu triste.
Ne serait-ce que pour la pochette déjantée, cet album vaut déjà le détour ! Ce condensé de rock garage et autres réjouissance fuzz sentent la bonne humeur sur un album qui respire la sincérité. Pas d’esbroufe, les mecs envoient la purée le plus simplement du monde avec des riffs ultra efficaces teintés çà-et-là de cuivres justement dosés. Le tout enregistré aux studios Kerwax, l’un des derniers studios 100% analogique.On est de retour dans les années 60/70, ou dans les années 95 avec le fantôme de Supergrass (Crack Me Up ). La basse groovy de l’inaugural Something You Got nous plonge rapidement dans le bain. Les Kinks, les Small Faces et autres Who ne sont jamais très loin (Too Big For Your Boots, Rainy Day). Peu d’accalmie si ce n’est ce réjouissant To Afraid Too Give Up au solo de guitare un peu bricolé, un côté DIY qui va très bien au groupe. La fin de l’album reste globalement plus calme mais plutôt bien équilibrée. Un vrai coup de cœur.L’album est disponible en streaming, CD et vinyle (sur ce lien)Pour suivre les news de rock indé, suivez Merseyside sur les réseaux sociaux :