Les mouches futées vivraient un peu moins longtemps que les autres. Entre deux chocolats, des chercheurs de l’Université de Lausanne l’ont très rigoureusement expérimenté, selon l’Agence Télégraphique Suisse de Berne. Oui on l’a déjà vu ici, les scientifiques frontaliers aiment se consacrer à des causes d’intérêt public de première importance… A l’aide de tests de mémoire sur deux gangs de mouches rivaux, provenant tous deux de la région bâloise, les scientifiques se sont rendus compte de la corrélation négative entre apprentissage et durée de vie. Ils ont pu constater qu’une activité neuronale intense altèrerait très concrètement la longévité des insectes. Plus concrètement une mouche un peu futée vivrait donc 10 à 15% moins longtemps qu’une autre. « Ces coûts en termes de longévité expliquerait pourquoi les mouches ne développent par leur savoir. » conclut l’article de Courrier International. Alors une question subsiste… lequel des deux camps avaient les mouches blondes ?