La cinquième édition du Festival "Le Paris des femmes" cher à notre blog n'a pas failli à sa réputation, qui fit chaque soir, salle comble, spectateurs comblés.
Un maître-mot rend compte de la magie de ces rencontres: l'enthousiasme.
Enthousiasme et professionnalisme du trio fondateur, Véronique Olmi, Michèle Fitoussi et Anne Rotenberg
Enthousiasme des auteures: évoquant les conditions de créations de textes de commandes - le thème du Festival est chaque année imposé - les auteures soulignent, unanimes, l'encadrement exigeant, certes, bienveillant, certainement, dont elles ont bénéficié, la riche expérience d'un partage avec les metteurs en scène et le public.
Car tout se déroule de manière conviviale - c'est la magie du Festival- célébrités et autres, confondues en une évidente osmose Et Tatiana de Rosnay, fabuleuse de simplicité, de franchise, de souligner l''aventure assez remarquable, (...) inattendue" que constitua sa participation au Paris des femmes. Sa pièce "Rebecca m'a tuée" bénéficiait, vendredi soir, de l'incarnation idoine d'Elsa Zylberstein ainsi que Florence Huige, de la mise en scène tonique et subtile de Murielle Magellan.
Enthousiasme du public, évidemment, qui rit, s'émeut, s'émerveille, bat des mains, contracte d'entrée de scène, le virus du Festival
Un virus qui sévit si bien en moi que je l'ai inoculé, vendredi, à une délégation belge d'amies lectrices de L'Eventail.
C'était mon crime, ce fut leur fabuleux châtiment
Toutes ont succombé à la féerie des Mathurins.
Merveilleuses fées Fitoussi, Olmi et Rotenberg, on en redemande
On compte sur vous
Apolline Elter