J’oubliais de dire qu’il est aussi et avant tout le tout puissant patron d’un parti qu’il dirige d’une main de fer dans un gant de velours, ce parti nationaliste et fasciste a pour nom N-VA, je vous épargne la dénomination réelle, ce qui faut retenir, avant d’être marionnettiste, il a essuyé les plâtres avec d’autres comiques, je pense à un certain « Leterme », il s’est cassé les dents, mais il a affiné son discours, il est devenu un maître de la communication, au point que sa principale marionnette le vénère littéralement, faut dire que lorsque l’on s’appelle « Charlot » c’est tout dire, enfin , le pauvre, il n’est pas aidé, dans son rôle de première marionnette, par mégarde dans une scène un peu chaude il a perdu un compère et depuis les choses ne s’arrangent pas vraiment , la fièvre monte dans les premières rangées du théâtre, elles sont occupées par des « opposants , des récalcitrants, des syndicalistes » et aussi et surtout par deux camarades qui ne ratent jamais une occasion pour faire savoir le ras-le-bol des spectateurs qui ont désormais compris que ce spectacle doit cesser, il faut baisser le rideau au plus tôt sera le mieux… Le « führer » dans son bunker anversois n’en démord pas ! Le marionnettiste BDW regrette par ailleurs que les organisations patronales mettent souvent le frein à des réformes, comme lorsqu'il s'agit de sanctionner des malades de longue durée qui peuvent refuser de travailler ou en ce qui concerne la réforme des prépensions. Bref, l’Etat policier et la dictature qui va avec, n’est plus très loin, je dirais même plus, nous y sommes, alors, moi, je sais ce qu’il me reste à faire….
Faitsdiverspolitiques 22-01-2016 22h12