Pas de gagnant en 2015 ! Classés par ordre alphabétiques en dehors de toute considération marketing ou nécessité de ressembler à un autre top 2015, voici les albums qui ont beaucoup résonné en 2015. Personnel, subjectif et absolument sincère !
Beach House – Depression Cherry
Bella Union – Août 2015
Une atmosphère toujours planante, un son caractéristique, des dissonances shoegaze occasionnelles… ce disque, comme presque tous les albums de Beach House, est d’une profondeur accrocheuse. Idéal pour se reposer, voire méditer. Je me suis approprié ce disque, peut-être aussi car il est arrivé à un moment où j’avais besoin de calme et ressources. Oui, le contexte dans lequel on écoute un disque joue aussi beaucoup.
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Foals – What Went Down
Warner – Août 2015
C’est sans doute le single Mountains At My Gate qui a donné le coup de fouet pré-album. Un single hyper catchy d’une efficacité redoutable. On peut reprocher à l’album de tomber dans une production un peu trop généreuse, mais cet album a tout pour plaire, et je suis tombé dedans comme un gosse. En attendant avec impatience le concert qui arrive, car sur scène, c’est vraiment une claque !
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Magic & Naked
Casbah Records – Décembre 2015
Le petit dernier sorti début décembre justifie peut-être sa place car il manque un peu de rôdage. Peu importe. Ces Suisses ont été une excellent surprise de fin d’année, à l’heure où tout le monde avait déjà publié son top 2015 sans attendre toutes les sorties. Assez hybride, sans être du Tame Impala ni du Beach House, Magic & Naked viennent pourtant s’inscrire dans cette lignée, avec une production légèrement plus lo-fi et malgré tout raffinée.
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Of Montreal – Aureate Gloom
Wea – mars 2015
Voilà un album ultra complet et enivrant. On passe un peu par tous les styles de musique, et tous les états… à l’image de l’excentrique leader Kevin Barnes. Avec presque un album par an depuis 1997, pas facile de suivre la discographie du groupe. Cet Aureate Gloom n’en reste pas moins une excellente entrée en matière. Un album de rock brut, parfois glam, psychédélique et surtout bourré de surprises. Loin des formats aseptisés de certaines productions actuelles, Aureate Gloom regorge de revirements de situation.
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Only Real - The Jerk At The end Of The Line
Avril 2015
Sensation surf-pop du printemps, le jeune british Only Real a autant de quoi séduire qu’énerver. Certains trouveront ça trop facile, d’autres (c’est mon cas), se laisseront emporter par une coolitude assumée du disque que l’on ressort pour les vacances et avoir la banane. Non ce n’est pas un monument du rock, mais les tubes Cadillac Girl, Blood Carpet ou Pass The Pain sont des morceaux redoutables d’efficacité pour ne pas bouder leur plaisir… et le nôtre.
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The Phoenix Foundation – Give Up Your Dreams
Memphis Industries – Août 2015
Le groupe néo-zélandais continue une excellent discographie dans une indifférence presque générale. Pourtant, on a là l’un des albums les plus réjouissants de l’année. Le Mountain inaugural fait parfaitement son boulot d’introduction à l’univers musical du groupe, avec ses guitares à la Motorama (que l’on retrouve sur Prawn) et sa grande profondeur que l’on aurait souhaité entendre sur le dernier Tame Impala. Le tout avec des intonations de voix façon Super Furry Animals ou Blur conférant à cet album une consistance dont on ne peut que se réjouir.
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Toro y Moi – What For?
Carpark Records – Avril 2015
Indie pop synthétique, la musique de Toro y Moi l’est assurément. Le côté DIY des albums précédents est moins présent et What For? s’apparenterait alors à un bricolage classieux. Ce quatrième est en effet plus homogène, moins éparpillé. On y retrouve ainsi de parfaites balades indie pop (Run Baby Run, The Flight) mais également des ambiances électro chillwave (Lilly, Buffalo) ou encore quelques morceaux bien dansants (Spell It Out).
Ultimate Painting – Green Lanes
Trouble In Mind Records – Août 2015
Ce duo est composé de deux bonshommes échappés de Veronica Falls, Mazes et The Proper Ornaments. Pas de raison de s’inquiéter quant à leur bagage musical, mais plutôt de s’en enthousiasmer. On s’était déjà régalé avec leur album éponyme sorti l’année dernière. Green Lanes continue de dérouler un songwriting impeccable empruntant aussi facilement au Velvet qu’à Teenage Fanclub. Un disque modeste et discret, mais qui retrouvera régulièrement le chemin de la platine tant ce petit bonheur se déguste à l’envi.
Juan Wauters – Who Me
Captured Tracks – Juin 2015
Je pensais écouter l’album rapidement et passer à autre chose. Mais voilà, j’avoue être tombé sous le charme de cet uruguayen venu conquérir les Etats-Unis, comme en témoigne la pochette. Ses chansons toutes simples, parfois en espagnol, viennent pourtant nous coller à la peau avec un sérieux goût de reviens-y. Loin de toute esbrouffe et paillettes marketing, le bonhomme se dévoile sur des compos où le combo guitare acoustique, voix, basse discrète et percus à peine audibles fonctionne à merveille.
http://www.facebook.com/merseysideband
Pas de gagnant en 2015 ! Classés par ordre alphabétiques en dehors de toute considération marketing ou nécessité de ressembler à un autre top 2015, voici les albums qui ont beaucoup résonné en 2015. Personnel, subjectif et absolument sincère !
Beach House – Depression Cherry
Bella Union – Août 2015
Une atmosphère toujours planante, un son caractéristique, des dissonances shoegaze occasionnelles… ce disque, comme presque tous les albums de Beach House, est d’une profondeur accrocheuse. Idéal pour se reposer, voire méditer. Je me suis approprié ce disque, peut-être aussi car il est arrivé à un moment où j’avais besoin de calme et ressources. Oui, le contexte dans lequel on écoute un disque joue aussi beaucoup.
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Foals – What Went Down
Warner – Août 2015
C’est sans doute le single Mountains At My Gate qui a donné le coup de fouet pré-album. Un single hyper catchy d’une efficacité redoutable. On peut reprocher à l’album de tomber dans une production un peu trop généreuse, mais cet album a tout pour plaire, et je suis tombé dedans comme un gosse. En attendant avec impatience le concert qui arrive, car sur scène, c’est vraiment une claque !
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Magic & Naked
Casbah Records – Décembre 2015
Le petit dernier sorti début décembre justifie peut-être sa place car il manque un peu de rôdage. Peu importe. Ces Suisses ont été une excellent surprise de fin d’année, à l’heure où tout le monde avait déjà publié son top 2015 sans attendre toutes les sorties. Assez hybride, sans être du Tame Impala ni du Beach House, Magic & Naked viennent pourtant s’inscrire dans cette lignée, avec une production légèrement plus lo-fi et malgré tout raffinée.
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Of Montreal – Aureate Gloom
Wea – mars 2015
Voilà un album ultra complet et enivrant. On passe un peu par tous les styles de musique, et tous les états… à l’image de l’excentrique leader Kevin Barnes. Avec presque un album par an depuis 1997, pas facile de suivre la discographie du groupe. Cet Aureate Gloom n’en reste pas moins une excellente entrée en matière. Un album de rock brut, parfois glam, psychédélique et surtout bourré de surprises. Loin des formats aseptisés de certaines productions actuelles, Aureate Gloom regorge de revirements de situation.
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Only Real - The Jerk At The end Of The Line
Avril 2015
Sensation surf-pop du printemps, le jeune british Only Real a autant de quoi séduire qu’énerver. Certains trouveront ça trop facile, d’autres (c’est mon cas), se laisseront emporter par une coolitude assumée du disque que l’on ressort pour les vacances et avoir la banane. Non ce n’est pas un monument du rock, mais les tubes Cadillac Girl, Blood Carpet ou Pass The Pain sont des morceaux redoutables d’efficacité pour ne pas bouder leur plaisir… et le nôtre.
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The Phoenix Foundation – Give Up Your Dreams
Memphis Industries – Août 2015
Le groupe néo-zélandais continue une excellent discographie dans une indifférence presque générale. Pourtant, on a là l’un des albums les plus réjouissants de l’année. Le Mountain inaugural fait parfaitement son boulot d’introduction à l’univers musical du groupe, avec ses guitares à la Motorama (que l’on retrouve sur Prawn) et sa grande profondeur que l’on aurait souhaité entendre sur le dernier Tame Impala. Le tout avec des intonations de voix façon Super Furry Animals ou Blur conférant à cet album une consistance dont on ne peut que se réjouir.
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Toro y Moi – What For?
Carpark Records – Avril 2015
Indie pop synthétique, la musique de Toro y Moi l’est assurément. Le côté DIY des albums précédents est moins présent et What For? s’apparenterait alors à un bricolage classieux. Ce quatrième est en effet plus homogène, moins éparpillé. On y retrouve ainsi de parfaites balades indie pop (Run Baby Run, The Flight) mais également des ambiances électro chillwave (Lilly, Buffalo) ou encore quelques morceaux bien dansants (Spell It Out).
Ultimate Painting – Green Lanes
Trouble In Mind Records – Août 2015
Ce duo est composé de deux bonshommes échappés de Veronica Falls, Mazes et The Proper Ornaments. Pas de raison de s’inquiéter quant à leur bagage musical, mais plutôt de s’en enthousiasmer. On s’était déjà régalé avec leur album éponyme sorti l’année dernière. Green Lanes continue de dérouler un songwriting impeccable empruntant aussi facilement au Velvet qu’à Teenage Fanclub. Un disque modeste et discret, mais qui retrouvera régulièrement le chemin de la platine tant ce petit bonheur se déguste à l’envi.
Juan Wauters – Who Me
Captured Tracks – Juin 2015
Je pensais écouter l’album rapidement et passer à autre chose. Mais voilà, j’avoue être tombé sous le charme de cet uruguayen venu conquérir les Etats-Unis, comme en témoigne la pochette. Ses chansons toutes simples, parfois en espagnol, viennent pourtant nous coller à la peau avec un sérieux goût de reviens-y. Loin de toute esbrouffe et paillettes marketing, le bonhomme se dévoile sur des compos où le combo guitare acoustique, voix, basse discrète et percus à peine audibles fonctionne à merveille.
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