Alors que tous les sites finalisent leurs classements et autres top en tous genre, on préfère s’attarder sur l’album de Magic & Naked. Pas parce qu’on voit peut de groupes suisses, même si ça pourrait être une raison valable. Mais surtout parce que cet album planant est la bonne surprise de pop gentiment psyché de cette fin d’année.
La très belle pochette en dit déjà long sur l’atmosphère de ce S/T. Sans pour autant inventer quelque chose de révolutionnaire, le quartet parvient à trouver un son qui lui est propre : rythme plutôt lent et riffs enivrants où les guitares volent et résonnent dans ses astres. Assez hybride, sans être du Tame Impala ni du Beach House, Magic & Naked viennent pourtant s’inscrire dans cette lignée, avec une production légèrement plus lo-fi et malgré tout raffinée. Le (If you wish you can) Reach Me by Phone gentiment rythmé s’affiche par exemple à la croisée des chemins entre Eels et Ultimate Painting. Une belle surprise.
http://www.facebook.com/merseysideband
La très belle pochette en dit déjà long sur l’atmosphère de ce S/T. Sans pour autant inventer quelque chose de révolutionnaire, le quartet parvient à trouver un son qui lui est propre : rythme plutôt lent et riffs enivrants où les guitares volent et résonnent dans ses astres. Assez hybride, sans être du Tame Impala ni du Beach House, Magic & Naked viennent pourtant s’inscrire dans cette lignée, avec une production légèrement plus lo-fi et malgré tout raffinée. Le (If you wish you can) Reach Me by Phone gentiment rythmé s’affiche par exemple à la croisée des chemins entre Eels et Ultimate Painting. Une belle surprise.
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Jeu de briques
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