11/06/2008
C’est un fait acquis, le président à toujours les premiers
mois de son investiture ce que l’on appelle une prime au sortant. Pour le petit
Nico cet état à été court et la chute spectaculaire, due en partie à cette
ivresse du pouvoir âpres laquelle il courait depuis bien longtemps. Mais il n’a
pas su profiter de ce laps de temps pour au moins endiguer ce qui est de toute
façon, passé l’euphorie des premiers mois, inéluctable. Et puis il faut bien le
dire sans pris, le style présidentiel à été pour le moins tape à l’œil. Etait
il vraiment nécessaire, à l’heure ou les français se plaignent à juste titre du
pouvoir d’achat, du chômage, des retraites, de s’afficher avec des
milliardaires même amis, de porter des montres hors de prix, tout en demandant
plus d’effort au français. A sa décharge il convient de noter qu’il n’est ni
responsable de la flambée des prix du pétrole, ni de la hausse des matières
alimentaires ( blé, riz, etc. ), mais un manque évident de communication, des
erreurs gouvernementales, et ce gout prononcé pour le « paraître »,
et cette manière de vouloir tout gérer et ne rien régler l’ont fortement
desservi. La remontée dans les sondages ne se fait pas, et malgré les rodomontades
et les effets d’annoncesde ses
partisans, l’ardoise sera dure à effacer, pour celui qui restera quoi qu’il arrive
maintenant comme le premier président "paillettes", oserais je dire bling bling,
de toutes les républiques que la
France à connue.
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