Robin Raskin, présidente de l'organisme Living in digital times qui présente plusieurs zones thématiques au CES, dit par exemple attendre de la « vraie robotique », dépassant les jouets pour s'orienter vers des robots assistants répondant à des problématiques comme le vieillissement de la population ou « apprenant des choses grâce à l'intelligence artificielle », que ce soit pour s'orienter dans la maison ou mieux comprendre ce que l'utilisateur demande.
Idem pour les drones attendus en masse à Las Vegas, qui « restent pour l'instant un marché d'enthousiastes, mais deviennent plus utiles », ou pour des objets connectés comme des thermostats ou des serrures qui aident à réduire la facture d'électricité ou laissent entrer le plombier pour réparer une fuite quand on n'est pas à la maison, estime-t-elle.
Le CES avait attiré un nombre record de plus de 176 000 participants l'an dernier. Pour l'édition 2016, qui sera ouverte au public du 6 au 9 janvier, les organisateurs ont annoncé vouloir plafonner le nombre de visiteurs à ce niveau, mais aussi mettre en place des mesures de sécurité renforcées après les attentats récents.